I. Identité:

Nom :Baaxter
Prénom :Ozymandias
Surnom : Artus
Sexe : Masculin
Age : 39 ans, âge apparent
Race : Hume
Idéologie : Nouvelle Eglise
Métier : Prêcheur


II. Conscience du monde et Magie:

Conscience : Initié
Source : Lever le voile
Technique : Psycker
Spécialisation : Artus possède un pouvoir de guérison dont la puissance lui parait illimité. Cependant, pour soigner quelqu'un ou quelque chose, il doit "puiser" de la vie autour de lui, en proportion supérieure au soin qu'il prodigue. En soignant une coupure, il fera faner les fleurs proches où donneront des crampes au gens présent. Pour soigner une fracture d'un os, il aspirera tout la vie d'un lac, ou plongera dans l'inconscience une assemblée d'une vingtaine de personne. Pour faire marcher un paralytique, il absorbera la vie d'un champ entier, ou volera la vie de quelqu'un. Il ne peut pas ramener quelqu'un a la vie si la personne est décédée depuis plus d'une heure, et le coup en vie est incroyable : cela rendrait un champs stérile définitivement, tuerai deux ou trois personne ou bien frapperai de maladie un hall entier. De plus, il arrive que les gens soigné par Artus continue a pomper la vie autour d'eux pendant quelque temps.

Lorque Artus soigne quelqu'un, il entre dans un état entre la transe et l'accouchement. On lit sur son visage douleur et exaltation. S'y plonger est un effort incroyable, et il en ressort souvent extenué, souvent lancé de spasmes vifs qui le font danser et hurler. Evidement, il a transformé cela dans son show, jouant de la "main droite de Dieu" et autre "puissance du Pain des Morts". On ne peut pas dire qu'Artus aime faire ça, en fait, il préférerai se faire arracher une dent. Non, ce qu'il aime par-dessus tout avec ce pouvoir, c'est l'avant et l'après. Le regard des mourrant, les yeux rempli d'espoir des familles, le silence des enfants blessés et surtout, surtout, le visage exalté du monde entier qui découvre le miracle qui s'accomplit, et la folie aveugle qui se jette sur la foule comme un aigle sur un mouton isolé. Cette montée d'adrénaline étouffe as douleur, sa fatigue et sa peine quand la magie quitte son corps, le laissant comme une conque vide.


III. Descriptions :

Description physique : Artus est un homme dans la trentaine, mais sa bonne humeur l'a bien conservé. Le visage allongé un peu pointu, il se creuse parfois lorsque son sourire prend des proportions irréelle. Il a des yeux rieurs mais d'un noir profond, et son visage est très expressif. Il n'y a rien à faire pour ses cheveux par contre. Bien résigné à ne pas les couper, Artus porte une tignasse brune qui part dans tout les sens. Plutôt anguleux et pointu, Artus ne se vante pas trop de ses capacités physiques de base, et préférera jouer des doigts et de la langue pour… impressionner les petits et grands. Il ne porte pas souvent sa robe et préfère des costumes coupés net et cravate hypnotique. Dans le privé, il est charmeur et élégant, en publique, c'est un animateur déchaîné qui soulève les foules comme une vague dans la mer Rouge. Sa voix est cassante, dynamique mais acidulé et piquante. Ses intonations sont celle d'un fanatique parfois, d'un conspirateur aussi. Dentition parfaite, teint bronzé et peau tendu sous ses muscles trop normaux pour être vrai, il a a l'air artificiel d'un vendeur de porte a porte et la pèche d'un mixeur électrique. Son sourire de requin amuse les enfants et charme les mamans, et sa poigne d'acier rassure les solides ouvriers qui viennent écouter son sermon. Il adore faire des grimaces, des grand gestes quand il parle, et il semble toujours affairé a quelque chose, même si ce n'est que fumer la pipe.

Description morale : Malgré ses origines, Artus ne voit pas le monde en noir et blanc. Il perçoit au cœur de chaque être vivant une lueur qu'il peut a loisir éteindre ou attiser. Ce qui fait de lui quelqu'un de profondément maléfique, c'est qu'il se réserve le droit de souffler le cierge qu'il veut, quand il le veut et si il le veut. Le monde autour de lui ne tourne que pour son petit plaisir, et si il sait pertinemment que sa morale n'est pas conforme ou habituelle chez les gens "normaux", il a trouvé sa place dans ma machine du monde et ne compte pas rester un simple rouage. Pendant longtemps, il se posait des questions sur sa vision du monde, sur le bien et le mal, même après avoir trouvé sa voie religieuse. Il aimerais ne rien avoir a faire avec cet avorton de Ra qui abreuve les foules de jolies phrase quand elles demandent la vérité et n'est bon qu'a cracher son venin pour faire lever les armes contres des ennemies qu'ont ne peut blesser ainsi. Combattre le mal par le mal, c'est ce qui pousse Artus a rester l'homme méchant, cynique, hypocrite, le maître du déguisement et du masque social qu'il s'est forgé pendant des années. Le peuple est peut être un troupeau de mouton idiot, aveugle et borné, mais c'est une force de million de bras, un torrent de colère que le sage sait diriger. Et ce bon Dieu de mioche de Ra envoie ce fleuve se jeter dans l'ocean d'une guerre merdique alors qu'autant de foi pourrait changer l'axe du monde.
Après, il y a des sages, des gens qui savent mener une bataille entre le bien et le mal, en vendant des armes au deux camps tout en assurant ses arrières. Ils viennent d'ailleurs, ça, il le sait. Ils ne parlent pas beaucoup, certes, mais Artus sait qu'ils partagent beaucoup d'idée en commun, et en premier lieu une même idée d'un monde meilleur.


IV. Précisions supplémentaires:

Style de combat : La fuite. Le sable dans les yeux. Le poison a oreille. Appeler Kutjara
Talents particuliers : Federer les foule. Faire des tours de magie.
Signes particuliers : Ne peut pas dire la vérité quand il regarde quelqu'un dans les yeux. En général, il évite.


V. Histoire: Artus est un homme sans histoire. Sa seule anecdote véridique concerne sa coiffure, figée dans un chaos depuis son passage trop près des pylône. Le reste, c'est rien que du bidon. Son enfance malheureuse, sa famille pauvre qui voyageait au travers de tout le pays pour trouver le salut, la tragédie de sa vie et de ses passion perdue, la foi retrouvée auprès de Ra, tout ça, c'est du vent pour gonfler les voiles de rêves d'une foule crédule. La vérité est à la fois plus complexe et plus banale.

Ozymandias est le fils bâtard de Tywin Baxxter et d'une prostituée d'un bordel de Yuggoth. Lorsque son père appris son existence, il mis fin au jour de la mère, rasa l'établissement et envoya son fils illégitime dans une cours bourgeoise a l'extérieur du pays. Elevé comme un fils adoptif, il n'a jamais perçut Tywin comme son père, mais comme un oncle lointain qui lui rendait visite pour surveiller avec un œil sévère sa musculature et ses talents de tyran. Le seigneur Baxxter était en disgrâce, et un héritier male, bâtard soit il, ne serait pas de refus quand tout ses "alliés" lui tournait un a un le dos. Mais Ozymandias ne grandissais pas comme il le voulait, l'enfant restait frêle, sec et hyperactif. Le portrait craché de sa défunte pute de mère. Grandissant pour entrer dans la force de l'age, alors que son père l'aurait vu dans l'armée, Ozymandias entreprend de longue étude dans des domaines très éloignée de la vie militaire d'un tyran : il étudie autant la philosophie que les sciences ou la religion, et se découvre une passion pour le bas peuple. Son père le ressaisit, et dans un violent "débat" entre eux, Ozymandias apprend la vérité sur sa mère. Choqué, il entre dans un calme profond et obéissant. C'est la première fois qu'il jouera la comédie pour servir ses intérêts. Sur les ordres de son père, il rejoint un corps armé et despotique d'impérialiste.
Il passerait une vingtaine d'année dans la Légion, pendant qu'ailleurs un gamin devient l'idole de la nouvelle Eglise. Face aux démons, Ozymandias (devenu Artus depuis un certain temps déjà) abandonne son rôle de mauvais soldat pour entrer dans la Ordres. Son savoir encyclopédique et son talent d'élocution le font vite bien voir, mais c'est son passé militaire qui le fera aller sur le front pour découvrir l'ennemi véritable, sa soif de pouvoir et de conquête, sa vision du monde. Artus est conquis. Mais il doit toujours jouer un rôle, peut importe ses nouvelles ambitions. Si noyauter l'Eglise n'était pas dans les plans des Versatilis, il allait les devancer. C'était le moins qu'il puisse faire, lui pauvre humain, aussi malin soit il.