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 Lomyr (Lieutenant Michaël Vallen)

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Lomyr (Lieutenant Michaël Vallen) Vide
MessageSujet: Lomyr (Lieutenant Michaël Vallen)   Lomyr (Lieutenant Michaël Vallen) I_icon_minitime13.01.09 20:28

Lomyr (Lieutenant Michaël Vallen) Modam_10

I. Identité:

Nom : Vallen
Prénom : Michaël
Surnom : Lomyr
Sexe : Masculin
Age : Mort à 28 ans, 8 ans après
Race : Ghoule
Idéologie : Clandestin
Métier : Profanateur de tombes

II. Conscience du monde et Magie:

Conscience : Ancien éveillé, disons qu’il s’est endormi
Source : nichts
Technique : nada
Spécialisation : niet

III. Descriptions:

Description physique :
« Avez-vous déjà vu un cadavre ? La première chose qui frappe, c’est l’odeur. Certains diront que c’est insoutenable – ils font les fines bouches, ce n’est pas pire que de la nourriture périmée, finalement. Après l’odeur, on est frappé par les divers petits insectes qui grouillent partout, se logeant dans les moindres replis de la peau – certains sortent par les yeux, les oreilles pour retourner se terrer à l’intérieure de la chair putride. Celui qui a dit qu’un cadavre était inerte se trompe : on voit bien toute la vie qui passe encore en lui. Les cheveux se décollent un peu, ils blanchissent – la chair est pâle, la chair semble sur le point de se déchirer, on se demande si ça va tenir longtemps encore. On voit la peau s’écarter autour des plaies, certains os pointent çà et là, les tendons cassent presque… Un vrai cours d’anatomie. C’est assez attrayant, finalement, un cadavre, ceux qui en ont déjà vu me comprennent, et c’est assez courant de nos jours, il faut le dire.
Mais avez-vous vu un cadavre qui marche ? Je vous parle des malades. Il y en avait un, ce jour là… à me fixer de son œil bleu. Dieu ! si seulement il ne bougeait pas, j’aurais pu en rire, mais son œil bleu qui me regardait sans me voir – se repaissant d’un cadavre, comme lui… ça, vraiment, je n’espère pas finir SAINT. Je ne veux pas avoir à murmurer dans une gorge décadente, je ne veux pas avoir à me cacher derrière un masque – comme cette chose… Même les insectes le fuient. »

Description morale :
« J’ai gardé quelques lettres de lui, du temps où il était – enfin, vous savez – comme nous. Il a beaucoup changé depuis. Avant, c’était un homme assez réservé, assez calme ; il s’emportait de temps à autres sur des choses qui nous semblaient normales, et qui l’énervaient. Quand je le vois rôder… je me dis qu’il n’y a plus de trace d’humanité en lui, plus rien. Rien que des ruines de ce qu’il était avant : il pense encore à elle, tout le temps. Je sais qu’il parle, il murmure des vers de temps à autres, quand il n’oublie pas assez. Il ne voit plus rien, par contre : il n’y a que son œil de verre dans son orbite, et il sent quand il chasse. Il chasse, vous savez ?, il chasse de l’homme quand les cimetières sont trop vides. Ca me fait de la peine de le voir comme ça ; il n’est plus humain. Il n’est plus humain mais il parle encore, c’est étrange. A l’entendre, on croirait que les bêtes sont douées de parole.
Il s’y agrippe, à ses mots misérables. On ne les entend presque plus : mais de temps à autre, il crie des sanglots rauques. Ca fait « Elsa ! Elsa ! ». Faudrait l’abattre. Mais personne ne s’y résout – on se souvient tous des moments passés avec lui. Et puis, il ne fait de mal à personne – d’habitude. C'est une belle caricature, vous voyez? Il joue avec des crochets, avec des os, pour tromper l'ennui. Il ne fait rien - il dort, il vit, il mange jusqu'à ce qu'il meure. Je ne sais pas si ça lui convient, je ne sais pas s'il pense encore à ce genre de chose. S'il s'ennuie tant... autant qu'il parte, non? Je ne supporte plus les cris qu'il fait. C'est la dernière chose qu'il ait d'humain.
Je vosu vois vznir, vous, avez vos grands mots. C'est un malade, un grand malade, je sais. Mais il y a des malades et il y a des Ghoules. Cette saleté ne vit pas, ou bien il vaudrait mieux qu'elle meurre. Regardez-le en face! Il pense encore à elle, c'est tout ce qu'il fait de ses dix doigts - je ne sais même pas s'il en a dix, tiens. Il pense! Pour sûr! il pense, comme n'importe qui. Mais il n'est pas humain, non, un humain ne vivrait pas comme ça. Il a perdu sa vie et avec elle sa dignité. »


IV. Précisions supplémentaires:

Style de combat : C'est un cadavre ambulant au final. Une quiche dégelée au corps à coprs fait à peu près autant de dégâts. S'il avait à se battre sérieusement, il choisirait plutôt les armes de tir dont il se souvient; en général, il évite de se battre.
Talents particuliers : Rien de pécis. Formé au maniement des armes en général, a beaucoup oublié depuis.
Signes particuliers : Un cadavre ambulant ça se remarque. Si en plus il a un œil de verre bleu, en général c’est pas bien long à identifier


Dernière édition par Lomyr le 16.01.09 22:11, édité 1 fois
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Lomyr (Lieutenant Michaël Vallen) Vide
MessageSujet: Re: Lomyr (Lieutenant Michaël Vallen)   Lomyr (Lieutenant Michaël Vallen) I_icon_minitime16.01.09 22:12

V. Histoire:

Michaël Vallen était monsieur tout-le-monde, ou presque.
Mr Vallen était quelqu'un d'assez posé, pas plus pauvre que riche: il vivait une vie saine dans un monde malsain, réprouvait fortement les mœurs des adolescents dangereux de ces temps et s'exclamait à chaque fois que les terroristes frappaient à grand coups de Bombe H sur le pôle nord. Comme tout le monde il habitait à Sécaria, car personne n'est paysan, comme tout le monde il était fier de sa ville, car personne n'ose avouer ses cauchemars. Sympathique, souriant, agréable, une certaine conversation mais somme toute une uniformité rasoire et si conforme que ça en faisait peur: quelqu'un qui n'osait aventurer sa réputation d'homme instruit dans des domaines aussi tristes que l'arcanotechnologie, quelqu'un qui n'osait pas sortir dans la rue après dix heures, quelqu'un qui dès ses vingt ans en avait trente de plus.
Cependant, Michaël Vallen, s'il ressemblait à monsieur tout-le-monde, n'était pas monsieur-tout-le-monde, pas exactement. Sa vie insipide ne l'inspirait pas plus que cela: il la vivait car elle était là. Dans le fond, Mr Vallen ne s'intéressait à rien, si ce n'est à une chose: une demoiselle prénommée Elsa. Elsa Vallen sonnait doux à ses oreilles, et il croyait qu'elle l'aimait, et il croyait l'aimer. Il advint qu'un beau jour l'un des deux se déclara et l'autre avec joie acceptait - le mariage fut, comme on s'y attend, ordinaire. Mais cependant, monsieur Vallen et madame Vallen étaient des gens de plus en plus atypiques : alors que de nombreuses personnes se contentaient d'aller au thé chez une amie tous les dimanches, d'aller visiter belle-maman et beau-papa le lundi et de retourner à la monotonie au delà de ceci, les Vallen ne sortaient jamais. Ni amie, ni beaux-parents - pourtant, c'étaient toujours les connaissances lointaines qu'on invitait pour remplir les salles louées pour l'occasion ; pourtant, ce n'étaient pas des gens peu sociaux, non : simplement, ils ne sortaient pas. Monsieur Vallen aimait madame Vallen, et eût-elle demander à sortir qu'ils seraient sur le champ sortis, cependant, ni l'un ni l'autre ne sortaient, ils parlaient doucement et calmement, en bons bourgeois qu'ils se voulaient d'être, avec le raffinement et la distinction que tous les gens pas assez riches pour être notables, mais suffisamment arrogants pour sembler l'être, paraissent partager. Si bien que monsieur et madame Vallen lisaient, et, plus rarement, écrivaient. Madame Vallen était par ailleurs douée dans les vers, tandis que monsieur Vallen s'illustrait dans les essais qu'il composait.
Toujours est-il que bientôt monsieur et madame Vallen prirent-ils la réputation d'érudits, et même d'artistes, dans le cercle toujours rapetissant de leurs amis. Tant et si bien qu'ils voyaient quelques gens, occasionnellement, pour énoncer leurs profondes pensées : et Monsieur et Madame Vallen devenaient irritants, fatiguants, à force d'être toujours brillant, à force d'être toujours arrogants, fiers et tellement "artistes", voyez-vous, des gens-pas-comme-nous. Et peu à peu, cela pesait à madame Vallen, qui voyait son mari absorbé dans sa réflexion. Madame Vallen désirait sortir - monsieur Vallen l'accompagnait d'abord, lorsqu'elle lui demandait, mais il semblait réticent, plongé dans les abîmes de sa propre réflexion, scholastique et masturbateur intellectuel jusqu'au bout des choses. La poésie de madame déclinât, et les beaux vers qu'elle avait fait déclinaient, d'inégaux devinrent maladroit, puis agonisèrent, devenant de rares éclairs de beauté enchâssés dans de la boue immonde, et bientôt, elle demandait à son mari de la sortir vers des amies. Madame Vallen redevint quelqu'un de fréquentable, et si son mari semblait refrogné, renfermé, soit! Elsa Vallen était une amie de ces dames.
Il advint, encore une fois, qu'un événement vint troubler le ménage des Vallen. Elsa Vallen était en effet enceinte, et l'heureuse attente que cela produisit changea grandement l'ambiance poussiéreusement académique qui régnait depuis les travaux de Monsieur Vallen. Elsa parvint même a sortir son mari du bourbier de ses essais; et pendant un temps, on crut que la période artistique et étrange des Vallen était passée. La petite fille - c'en était une - cependant, mourut trop vite - née elle était froide, cadavre silencieux dans les bras de sa mère sanglotant. Monsieur Vallen retourna à ses écrits, et on ne saurait dire pourquoi l'appartement du couple ne semblait plus autant orienté vers le Sud. La tragédie écarta un peu les anciens amoureux - Monsieur Vallen, du haut de ses vingt cinq ans, aimait passionnément Elsa, mais celle-ci s'éloignait lentement. Leur vie ressemblait à celles des amis de Madame ; aussi triste et aussi banale que toutes celles qu'on peut entendre. C'était insupportable pour Monsieur Vallen ; Elsa, elle, oubliait à grand renfort de thés.

Ceci continua jusqu'au jour ou Monsieur Vallen ne supporta plus que sa femme n'oublie pas assez vite: il partit. Il s'était trouvé un prétexte: celui du citoyen philosophe qui s'en va protéger sa ville. Délinquance, vous comprenez – c’était un fou au milieu d’autres, certes, mais c’était un fou illuminé, qui croyait profondément à toutes les calomnies qu’on peut dire sur les Jeunes. Tristement, il rejoignit les rangs des balayeurs, âme damnée condamnée qui nettoyait ce qui bougeait. Il avait voulu oublier tout d'Elsa, il avait voulu fuir loin des douleurs de la vie trop morne et était tombé de Charybde en Scylla, de divorce au tarés. Ce n'était pas qu'il eût haï sa femme, c'était qu'il voulait être loin d'elle. Regarder celle qu'il avait aimée se prdre un peu plus loin chaque jour dans les affres de sa propre vie sans rien faire était simplement trop difficile à Monsieur Vallen, et comme Elsa Vallen n'était plus la diseuse de vers d'antan, il n'était plus son mari diseurs de bêtises. Il s'était engagé pour une guerre, pas pour deux.
Monsieur Vallen en tant que tel était mort, et ne restait que le Lieutenant Michaël, Civil Paramilitaire du Nord, comme les fous se prénomaient, sans trop d'avenir, bague au doigt d'une futile promesse et avec sur la conscience la mort de ses années. Il avait rejoint une troupe d'imbéciles, d'aveugles, de frénétiques de fanatiques et d'égarrés de la vie; la joyeuse bande de damnés vivait un jeu que jamais l'on ne devrait jouer. C'était de ces vantards qui las d'être des paons veulenet faire les taureaux: c'était de ces gens qui voulait l'armée mais dont l'armée ne voulait pas. Des fous, somme toute, et Lieutenant Michaël ne vallait pas mieux. Lui voulait être philosophe, illuminé parmi les crétins, mais ce n'était qu'un crétin qui philosophait de sa bêtise. Regard morne, yeux morts, le Lieutenant Vallen n'en était qu'un de plus enrôlé dans un mensonge plus grand que lui. Un Banal de plus. On les avait appellés Nettoyeurs, Balayeurs, ce n'étaient guère plus que des menteurs.
Madame Vallen prit elle aussi un tournant au départ de son mari. Le cliché de la vie continuait dans les moindres détails: quand son mari s'enfuit elle choisit un amant. Puis dilapidant sa fortune, en choisit un deuxième, et encore un: elle était devenu madame-à-tout-le-monde, elle avait été madame tout-le-monde. Soit, la vie est étrange parfois, et le petit parc bien fait de leur vie comme il fallait était abandonné, beau souvenir pour monsieur triste sourire pour madame. Elsa écrivait au Lieutenant civil qui poursuivait une absurdité comme il en avait poursuivi d'autre, avant : fait étrange, au début réticente à ne pas mentir, elle finit par tout avouer. Le Lieutenant lisait et répondait, fait étrange, très calmement: et même les ébats les moins censurés de sa femme semblaient le laisser de marbre, ou bien, au mieux, souriant. Il répondait lui-même, dépeignant sa morne vie banale. Ni l'un ni l'autre ne semblait s'en vouloir, mais autant le Lieutenant ne disait rien de sa douleur, autant Elsa taisait son ennui. Ils arrêtèrent de s'écrire un jour où l'un envoya à l'autre une enveloppe vide sauf d'une bague. Le message était dit, et les mots étaient morts depuis trop longtemps pour s'expliquer.
Le quotidien du Lieutenant Vallen avait changé, mais la banalité de mise le long de sa vie restait immuable : pire encore, on l’avait réglementé au travers de cette petite association d'imbéciles aveuglés. Lever à sept heures, présentation à sept heures trente pour l’affectation journalière. Et occuper le restant de la journée à finir ce à quoi l’on avait été assigné, à tuer le temps comme on pouvait le faire dans une caserne paramilitaire où règnent les fous. La joyeuse bande de désœuvrés n’avait rien de très curieux ; cependant, les affectations, le trop de temps libre – tout le monde le savait mais personne ne le disait. C’était clairement autre chose que des jeunes délinquants, que des terroristes, que toutes se balivernes que l'Etat ou les bonnes gens comme il faut déclaraient. De temps à autre, le sens des missions qu’ils effectuaient leur était étranger, sinon, c'était qu'ils n'avait rien à faire ; et les Civils Paramilitaires du Nord ne savaient s’ils suivaient vraiment leurs idéaux. Mais les militaires se taisaient : les ordres étaient les ordres, discipline stricte était de mise. Pas de questions, pas de pensée et une vie encore moins originale que celle qu’ils avaient quittée.
Puis vint un jour où, à cours d’idée, les Supérieurs créèrent des Escouades. La chasse était ouverte, avait glissé quelqu’un de haut. On lâcha les chiens de chasse, et on laissa faire la curée : tirer sur tout ce qui bougeait, tirer puisque la vie en dépendait sur n’importe quoi. Après l’ennui la paranoïa. Certains même ressemblaient à des hommes : on les abattait comme les autres. Tirez à vue si vous vivez. Il y avait des monstres aussi. Tirez à vue si vous vivez. Pour certains c’était l’enfer ; ils sont morts vite. Pour d’autre c’était un jeu ; ils ont perdus. Pour d’autre c’étaient les ordres ; ils obéissaient. Et ils sont morts, et ils sont rentrés.
Michaël cependant n'oubliait pas sa femme. Il finit par rentrer lui aussi, un jour, sachant pertinemment qu'il n'avait ni femme ni vie.

Il finit par mourir un froid jour de brumaire.

Sa "mort" a ressemblé à celle de tant d'autre: tant d'autres des malades des cadavres ambulant que l'on croise le soir au détour des ruelles - tant d'autres des avares des avides de chair qui regarde un passant comme on reluque l'étal du premier épicier. Sa mort était la même que celle de nombreux, mais fou parmi les fous il continua de vivre, sa mort ne l'empêchait de murmurer les soirs des vers qu'il ne pouvait oublier, jamais, jamais. Il était mort, et s'il l'avait caché par un oeil de verre, l'autre finit par blanchir et mourir, il était mort, et rôdait là où Elsa avait été - les gens qu'il croisait le regardaient avec dédain, dégoût, sans pouvoir le toucher et sans pouvoir le voir, et il mangeait dans les cimetières la nuit tombée. Autrefois il payait les morts par des prières, aujourd'hui il prie pour que les morts soient là.
Et toujours à la nuit il se confie de mots murmurés inventés retrouvés dans ses maux.



***
Bon, voilà, après édition... le message était devenu trop long u_u
J'ai donc été contraint et forcé par forum actif à fragmenter la fiche, ce qui est la raison de ceci.
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Calliope Skouros

- Chapo Furtif -

Calliope Skouros

Signalement : Co-fondatrice originelle, ancienne joueuse


Lomyr (Lieutenant Michaël Vallen) Vide
MessageSujet: Re: Lomyr (Lieutenant Michaël Vallen)   Lomyr (Lieutenant Michaël Vallen) I_icon_minitime16.01.09 22:21

Hey ! C'était pas pour rigoler ! ^^
Mais ça ne mérite pas un édit. C'est le genre d remarque que je fais juste pour partager ce que ça m'inspire avec des gens, même quand ça ne les intéresse pas (qui a dit "surtout" ?)... huhu. Donc pas de soucis là dessus.

Enfin, les remarques ont surout pour but de clarifier avec toi le concept du perso : certaines entrainent des modifs, mais on veut surtout s'assurer que nous avons bien compris le personnage et que tu as saisi les points majeurs du contexte, rien de plus Wink
Dans tous les cas, merci de ta réponse complète : c'est utile et ça fait plaisir.
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Seel

- Très surfait - PATATE royale avariée

Seel

Signalement : Fragment de l'Etrange, 1m90, cheveux noirs, yeux très verts, peau pâle, yeux cernés de rouge par la fatigue, la maladie et la dépendance. La lumière est comme déviée de lui.Élégant en noir, porte toujours des gants. Charismatique de par son statut de démon, voir même beau. Mais finalement plutôt effrayant et dérangeant. On ne cherche pas sa compagnie. Aura glaciale : La température chute au fur et à mesure que l'on s'approche de lui. Le contact de sa peau nue dépose une pellicule de glace sur les objets et la chair, gèle et coagule tout à long terme ( Peau à environ -15 degrés ). On peut le toucher à travers le tissu.


Lomyr (Lieutenant Michaël Vallen) Vide
MessageSujet: Re: Lomyr (Lieutenant Michaël Vallen)   Lomyr (Lieutenant Michaël Vallen) I_icon_minitime22.01.09 17:14

Bon apparemment ça a été édité ! Donc oui tu es validé
Il ne fallait pas hésiter à nous dire que tu avais terminé ton édition ^^

Bienvenue ma poule!
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MessageSujet: Re: Lomyr (Lieutenant Michaël Vallen)   Lomyr (Lieutenant Michaël Vallen) I_icon_minitime

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