I identitéNom : O'Malley
Prénom : James, Franklin, Léon-Jaquier
Surnom: Mr le commissaire
Sexe : masculin
Age : 53 ans
Race : Hume
Idéologie : la Justice... avant...
Métier : commissaire dans la police de fonction Sécarienne
II conscience du monde et magieConscience : Bienheureux
Source : néant
Technique : néant
Spécialisation : néant
III Descriptions :Description physique :1m 82, 87 kilos, cheveux poivre et sel mi-courts (environ 10cm) gominés, odeur de résine,
barbe blanche moyenne avec moustaches en pointe rebiquant légèrement au bout, le tout sentant le tabac; yeux brun sombre, peau légèrement mate et tannée, large présence de rides visibles, pas de piercings, aucune trace de trou au niveau des oreilles ou ailleurs sur le corps, excepté le nombril, ce qui est normal pour un Hume. (le trou du nombril se bouche à la naissance.) aucune tache de naissance, 7 grains de beauté (nuque, omoplate droite, 2 milieu dos, bras droit, hanche droite, cuisse gauche.) présence de petites cicatrice au bas du dos, au bras droit, au poignet gauche et traces d'écorchures aux genoux. 13 points de suture dans le dos, entre la 5ème & 7ème côte droite. Pelage blanc au niveau du torse, poivre et sel au niveau du pubis. aucune trace d'amputations. Dents de blanc ivoire à jaune claire, plombage à 3 prémolaires à droite : 2 en haut et 1 en bas. Stature plutôt droite et altière, tendance à se voûter en période de dépression morale. légère scoliose à droite, bonne présence, air sévère et inquisiteur, gestes et pas fougueux et décidé. sourcil noirs constamment froncés, parle d'un ton ferme, mais tendre, et d'une manière générale avec un vocabulaire plutôt châtié et agréable, contrairement à celui avec lequel il maugrée (grommelle) ou pense. Il parle souvent avec le soutient de ses mains, comme pour être plus persuasif. Adroit en dénouement de conflits (c'est entre autre pour cela qu'il a obtenu sa promotion). Bougonne dans sa barbe en période de troubles. Se retire de plus en plus souvent dans de muettes et intenses méditations mélancoliques. Dors peu. Pratique des exercices de gymnastique chaque matin pour se maintenir en forme. Bonne forme physique, bons réflexes,
adroit au tir, bon conducteur, efficace en poursuite, mais de moins en moins endurant.
Au niveau des vêtements, tenues soigneusement sélectionnées, selon des critères de beauté de la coupe, noblesse de la matière et soin de la finition, générale préférence pour une discrète pointe de couleur, pour ne faire ni tape à l'œil ni enterrement. Vestons en velours et cravates distinguées, parfois accompagnées d'un nœud papillon. Vestes bien souvent agrémentées d'un blason de police cousu sur l'épaule gauche. Il porte une étoile de shérif qui ferait un mauvais projectile puisque arrondie aux extrémités. Il possède également un très chic imperméable vert sombre (voir photo) qu'il porte de manière quasiment constante dès qu'il sort, sauf en soirée, bien entendu. Sa vue baissant, il porte dorénavant le monocle (œil gauche), et fume au moyen d'une pipe en ivoire au manche en bois sombre et finitions métal.
Description morale :Jadis fougueux et passionné par son métier, il est devenu de plus en plus noir en constatant la hausse toujours croissante de la criminalité, les dirigeants qui ne font rien et n'ont jamais rien fait depuis au moins 20 ans... la fraude est assumée, maintenant... alors il désespère, et il déprime, et il s'isole. Il suit encore quelques enquêtes, de près ou de loin, puisqu'il sait très bien que d'autres, comme le privé Riker, ou comme des chasseurs de primes de passage, vont se les payer pour lui... Il veut pas la gloire. Il voudrait juste... que tout aille bien. C'est ça, son vrai problème : depuis que son sens profond et intègre de la justice à été "définitivement coulé" (c'est ce qu'il dit lui-même*), toute justice et n'importe quelle justice fera l'affaire. Il ne tient pas à se battre pour un idéal déchu, parce que si lui seul y croit, alors il ne peut pas faire le bien d'autrui, car sa justice serait arbitraire. Donc il continue de faire son métier, comme si de rien n'était, machinalement, habituellement, pour essayer de se sauver du généry... Il évite de se poser des questions. Depuis plus de 5 ans, maintenant. Mais la vérité, c'est que, sans passion, sans conviction, on s'use, on perd patience.
*précaution à prendre concernant cette notion : il n'est peut être pas aussi désespéré et vide de justice qu'il voudrait bien le penser, et son sens moral, quoi qu'il en dise, tombera avec sa carcasse.]
A cette époque de l'année, il commence à faire meilleur, du coup, il se sent un peu mieux, le commissaire. Il se rapelle qu'il aime les bonnes choses. Il aime la bonne nourriture, connaît de très bonnes boissons, aime regarder les branches des arbres, et la lumière qui s'infiltre, tant qu'elle peut encore... Et puis surtout il aime les femmes... Oh, ça oui ! qu'est-ce qu'il aime les femmes... qu'est-ce qu'il a aimé, jadis... Il aurait un coeur pour la tyr entiyre... tous ces sourires, c'est vrai qu'elles sont belles. Aujourd'hui, il ne pratique plus le sexe, malgré qu'il sache combien c'est sain, il n'a plus soif de sexe. Il préfère les contempler. Il ne cueille plus, il regarde juste les gens, choses, et toutes les beautés de ce monde vivre. La beauté reste une des rare valeurs sûres à son esprit; et s'il n'y avait la démission de ce clampin de Waits -son adjoint- il pourrait presque savourer sa mélancolie. Il est donc pas du genre gai, vous l'aurez compris, c'est pas un pinçon. Par contre, c'est le genre avec des principe et une belle moustache, voyez ? Autrement dit, fier, quoi, de la tenue ! plus haut, le menton ! allez quoi !
personne ne se doute vraiment -à part Waits- (qu'il aille se faire pondre) de la noirceur de l'âme de ce pauvre commissaire, puisqu'en société, il est poli et souriant, et bien sapé, la crème de praline avec la cerise confite dénoyauté dessus, saupoudrée et tout, voyez ? Il pourrait même faire la blague du chat de la souris et de la famille, pour faire rire les petites nénettes lors de fameuses soirées mondaines ou il arrive encore, de par son titre, à se faire inviter. (...)
Bon attendez.
entracte Oui, j'ai bien vu que vous vous demandiez ce que c'est que cette blague du chat de la souris et de la famille, du coup, je me sent un peu obligé de vous la raconter...
Alors c'est l'histoire d'une souris, qu'est dans son trou de souris, et là elle voit un fromage, alors elle s'approche discrètement de la sortie de son trou pour vérifier qu'il n'y pas de tapette (les souris sont homophobe, vous le saurez, maintenant.) et là ! Elle voit le chat ! Mais le chat aussi il a vu la souris, et la souris elle a bien compris que le chat l'as vu, alors elle rentre et elle attend...
et quand elle voit qu'il est parti, elle court elle court, elle chope le frometon, et la le chat (qui l'attendais, en fait, mais qui s'était endormi) lui court après mais trop tard, elle rentre dans son trou et elle mange le fromage
fin de l'entracte Donc voila, c'est tout ce qu'il y a à dire sur la moralité du personnage, il n'est pas spécialement raciste ou xénophobe, il a même, étant plus jeune, trainé dans une communauté baba (le même genre de type que son pharmacien, que vous connaissez peut-être, c'est un rastaquouère) mais de toute manière ça vous sera pas raconté ici, c'est une autre histoire... c'est SON histoire...
IV ...
Quoi? Vous faites une drôle de trombine ? qu'est-ce qui se passe ?
...
- Narrateur : ... Bon allez, toi, là, explique s'qui va pas.
- Lecteur lambda : Ben... c'est que tout à l'heure vous avez dit, enfin vous aviez dit que... c'est à propos de la blague; c'était l'histoire du chat, de la souris, et de la famille... enfin c'est ce que vous avez dit...
- Narrateur : ... ? Eh ben ? Oui, et alors ?
- Lecteur lambda : ... Eh ben, et la famille ?
- Narrateur (souriant) : ...
ça va bien, merci ! (super fier) ha ha ! ... sympa pas vrai ?
Bon, on a bien rigolé, on en était au IV, et je sais pas si j'aurais la place...
Roh... mais rasseyez vous, enfin, arrêtez de vous en taper le cul par terre !
IV : Style de combat : James pratique hardiment la canne, la savate, et le tir. (entrainé lorsqu'il était brigadier) Entrainé à un bon nombre d'armes à feu, mais fétichiste, il a toujours gardé et bichonné son bon vieux canon scié , un deux coups d'environ 55 cm en comptant la crosse, bien pratique car facilement dissimulable sous son imper. il a d'ailleurs cousu un pan de cuir à l'intérieur de ce dernier auquel il attache cet avant dernier (le fusil, eh eh). il peut donc parler les mains vide (et rester persuasif, ou en tout cas pas avoir l'air trop louche) et d'un coup, tac ! pan pan ! t'es mort ! comme ça, là, tout net. c'est ça, la classe...
Talents particuliers : 1) Le chantage : Le commissaire, avant tout, est commissaire. Ce qui fait que si une quelconque patrouille de police entre sur son secteur, c'est lui qui gèrera les opérations, il sera écouté, vu qu'il peut réduire -il en a le pouvoir- les jeunes flics casses brunes à un mois au service des contraventions, sur simple demande... parlez d'un talent caché...
2) La persuasion : Déjà indiqué dans ses caractéristiques physiques puisque tenant de sa présence et de son élocution (donc rien de magique ou inhumain, capacité notable, mais pas réellement surprenante) Il l'a déjà fait, il peut le refaire, il est capable de casser à peu près n'importe qui lors d'une séance d'interrogatoire musclée. Le plus dur à toujours été d'attraper, quand on sait qu'ici, à Sécaria, on peut garder à vue un suspect à volonté, le mec qui pense se sauver par le gong et qui s'accroche à ça pour pas craquer, ici, il rêve les yeux ouverts... Dans cette capacité on pourrait mettre aussi
convaincre , ce qui correspondrait à avoir l'initiative dans une situation, ou laisser voir la petite flamme qui brille au fond des yeux, avoir l'air passionné... ça, malgré tout, malgré le doute et les intempéries, il saura toujours le faire... surtout pour une jolie jeune fille, toute souriante et bien gaulée. on naît Hume, on le reste.
Signes particuliers : Il évite d'avoir des tics, il n'aime pas se faire remarquer, pas qu'il veuille, à l'instar d'un Mike Riker, ménager un effet de surprise sur ses opposants, mais juste qu'il pense avoir passé l'age des excentricités. Il ne lui en reste pas moins cette habitude qu'il à prise à ruminer dans sa barbe un gromelaud incompréhensible lorsqu'il se trouve en filature ou sur une scène de crime, c'est ça façon de rassembler ses idées et de se concentrer intensément en quête d'indice(s).
ci-dessus : table de nuit du commissaire O'Malley, détail.