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 James O'Malley

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James O'Malley Vide
MessageSujet: James O'Malley   James O'Malley I_icon_minitime27.11.09 0:43

I identité

James O'Malley Getattachmentaspxyd


Nom : O'Malley
Prénom : James, Franklin, Léon-Jaquier
Surnom: Mr le commissaire
Sexe : masculin
Age : 53 ans
Race : Hume
Idéologie : la Justice... avant...
Métier : commissaire dans la police de fonction Sécarienne

II conscience du monde et magie

Conscience : Bienheureux
Source : néant
Technique : néant
Spécialisation : néant

III Descriptions :

Description physique :
1m 82, 87 kilos, cheveux poivre et sel mi-courts (environ 10cm) gominés, odeur de résine,
barbe blanche moyenne avec moustaches en pointe rebiquant légèrement au bout, le tout sentant le tabac; yeux brun sombre, peau légèrement mate et tannée, large présence de rides visibles, pas de piercings, aucune trace de trou au niveau des oreilles ou ailleurs sur le corps, excepté le nombril, ce qui est normal pour un Hume. (le trou du nombril se bouche à la naissance.) aucune tache de naissance, 7 grains de beauté (nuque, omoplate droite, 2 milieu dos, bras droit, hanche droite, cuisse gauche.) présence de petites cicatrice au bas du dos, au bras droit, au poignet gauche et traces d'écorchures aux genoux. 13 points de suture dans le dos, entre la 5ème & 7ème côte droite. Pelage blanc au niveau du torse, poivre et sel au niveau du pubis. aucune trace d'amputations. Dents de blanc ivoire à jaune claire, plombage à 3 prémolaires à droite : 2 en haut et 1 en bas. Stature plutôt droite et altière, tendance à se voûter en période de dépression morale. légère scoliose à droite, bonne présence, air sévère et inquisiteur, gestes et pas fougueux et décidé. sourcil noirs constamment froncés, parle d'un ton ferme, mais tendre, et d'une manière générale avec un vocabulaire plutôt châtié et agréable, contrairement à celui avec lequel il maugrée (grommelle) ou pense. Il parle souvent avec le soutient de ses mains, comme pour être plus persuasif. Adroit en dénouement de conflits (c'est entre autre pour cela qu'il a obtenu sa promotion). Bougonne dans sa barbe en période de troubles. Se retire de plus en plus souvent dans de muettes et intenses méditations mélancoliques. Dors peu. Pratique des exercices de gymnastique chaque matin pour se maintenir en forme. Bonne forme physique, bons réflexes,
adroit au tir, bon conducteur, efficace en poursuite, mais de moins en moins endurant.
Au niveau des vêtements, tenues soigneusement sélectionnées, selon des critères de beauté de la coupe, noblesse de la matière et soin de la finition, générale préférence pour une discrète pointe de couleur, pour ne faire ni tape à l'œil ni enterrement. Vestons en velours et cravates distinguées, parfois accompagnées d'un nœud papillon. Vestes bien souvent agrémentées d'un blason de police cousu sur l'épaule gauche. Il porte une étoile de shérif qui ferait un mauvais projectile puisque arrondie aux extrémités. Il possède également un très chic imperméable vert sombre (voir photo) qu'il porte de manière quasiment constante dès qu'il sort, sauf en soirée, bien entendu. Sa vue baissant, il porte dorénavant le monocle (œil gauche), et fume au moyen d'une pipe en ivoire au manche en bois sombre et finitions métal.

Description morale :
Jadis fougueux et passionné par son métier, il est devenu de plus en plus noir en constatant la hausse toujours croissante de la criminalité, les dirigeants qui ne font rien et n'ont jamais rien fait depuis au moins 20 ans... la fraude est assumée, maintenant... alors il désespère, et il déprime, et il s'isole. Il suit encore quelques enquêtes, de près ou de loin, puisqu'il sait très bien que d'autres, comme le privé Riker, ou comme des chasseurs de primes de passage, vont se les payer pour lui... Il veut pas la gloire. Il voudrait juste... que tout aille bien. C'est ça, son vrai problème : depuis que son sens profond et intègre de la justice à été "définitivement coulé" (c'est ce qu'il dit lui-même*), toute justice et n'importe quelle justice fera l'affaire. Il ne tient pas à se battre pour un idéal déchu, parce que si lui seul y croit, alors il ne peut pas faire le bien d'autrui, car sa justice serait arbitraire. Donc il continue de faire son métier, comme si de rien n'était, machinalement, habituellement, pour essayer de se sauver du généry... Il évite de se poser des questions. Depuis plus de 5 ans, maintenant. Mais la vérité, c'est que, sans passion, sans conviction, on s'use, on perd patience.

*précaution à prendre concernant cette notion : il n'est peut être pas aussi désespéré et vide de justice qu'il voudrait bien le penser, et son sens moral, quoi qu'il en dise, tombera avec sa carcasse.]

A cette époque de l'année, il commence à faire meilleur, du coup, il se sent un peu mieux, le commissaire. Il se rapelle qu'il aime les bonnes choses. Il aime la bonne nourriture, connaît de très bonnes boissons, aime regarder les branches des arbres, et la lumière qui s'infiltre, tant qu'elle peut encore... Et puis surtout il aime les femmes... Oh, ça oui ! qu'est-ce qu'il aime les femmes... qu'est-ce qu'il a aimé, jadis... Il aurait un coeur pour la tyr entiyre... tous ces sourires, c'est vrai qu'elles sont belles. Aujourd'hui, il ne pratique plus le sexe, malgré qu'il sache combien c'est sain, il n'a plus soif de sexe. Il préfère les contempler. Il ne cueille plus, il regarde juste les gens, choses, et toutes les beautés de ce monde vivre. La beauté reste une des rare valeurs sûres à son esprit; et s'il n'y avait la démission de ce clampin de Waits -son adjoint- il pourrait presque savourer sa mélancolie. Il est donc pas du genre gai, vous l'aurez compris, c'est pas un pinçon. Par contre, c'est le genre avec des principe et une belle moustache, voyez ? Autrement dit, fier, quoi, de la tenue ! plus haut, le menton ! allez quoi !
personne ne se doute vraiment -à part Waits- (qu'il aille se faire pondre) de la noirceur de l'âme de ce pauvre commissaire, puisqu'en société, il est poli et souriant, et bien sapé, la crème de praline avec la cerise confite dénoyauté dessus, saupoudrée et tout, voyez ? Il pourrait même faire la blague du chat de la souris et de la famille, pour faire rire les petites nénettes lors de fameuses soirées mondaines ou il arrive encore, de par son titre, à se faire inviter. (...)
Bon attendez.

entracte

Oui, j'ai bien vu que vous vous demandiez ce que c'est que cette blague du chat de la souris et de la famille, du coup, je me sent un peu obligé de vous la raconter...

Alors c'est l'histoire d'une souris, qu'est dans son trou de souris, et là elle voit un fromage, alors elle s'approche discrètement de la sortie de son trou pour vérifier qu'il n'y pas de tapette (les souris sont homophobe, vous le saurez, maintenant.) et là ! Elle voit le chat ! Mais le chat aussi il a vu la souris, et la souris elle a bien compris que le chat l'as vu, alors elle rentre et elle attend...
et quand elle voit qu'il est parti, elle court elle court, elle chope le frometon, et la le chat (qui l'attendais, en fait, mais qui s'était endormi) lui court après mais trop tard, elle rentre dans son trou et elle mange le fromage

fin de l'entracte

Donc voila, c'est tout ce qu'il y a à dire sur la moralité du personnage, il n'est pas spécialement raciste ou xénophobe, il a même, étant plus jeune, trainé dans une communauté baba (le même genre de type que son pharmacien, que vous connaissez peut-être, c'est un rastaquouère) mais de toute manière ça vous sera pas raconté ici, c'est une autre histoire... c'est SON histoire...

IV ...

Quoi? Vous faites une drôle de trombine ? qu'est-ce qui se passe ?
...
- Narrateur : ... Bon allez, toi, là, explique s'qui va pas.
- Lecteur lambda : Ben... c'est que tout à l'heure vous avez dit, enfin vous aviez dit que... c'est à propos de la blague; c'était l'histoire du chat, de la souris, et de la famille... enfin c'est ce que vous avez dit...
- Narrateur : ... ? Eh ben ? Oui, et alors ?
- Lecteur lambda : ... Eh ben, et la famille ?
- Narrateur (souriant) : ... ça va bien, merci ! (super fier) ha ha ! ... sympa pas vrai ?

Bon, on a bien rigolé, on en était au IV, et je sais pas si j'aurais la place...
Roh... mais rasseyez vous, enfin, arrêtez de vous en taper le cul par terre !

IV :

Style de combat : James pratique hardiment la canne, la savate, et le tir. (entrainé lorsqu'il était brigadier) Entrainé à un bon nombre d'armes à feu, mais fétichiste, il a toujours gardé et bichonné son bon vieux canon scié , un deux coups d'environ 55 cm en comptant la crosse, bien pratique car facilement dissimulable sous son imper. il a d'ailleurs cousu un pan de cuir à l'intérieur de ce dernier auquel il attache cet avant dernier (le fusil, eh eh). il peut donc parler les mains vide (et rester persuasif, ou en tout cas pas avoir l'air trop louche) et d'un coup, tac ! pan pan ! t'es mort ! comme ça, là, tout net. c'est ça, la classe...

Talents particuliers :
1) Le chantage : Le commissaire, avant tout, est commissaire. Ce qui fait que si une quelconque patrouille de police entre sur son secteur, c'est lui qui gèrera les opérations, il sera écouté, vu qu'il peut réduire -il en a le pouvoir- les jeunes flics casses brunes à un mois au service des contraventions, sur simple demande... parlez d'un talent caché...
2) La persuasion : Déjà indiqué dans ses caractéristiques physiques puisque tenant de sa présence et de son élocution (donc rien de magique ou inhumain, capacité notable, mais pas réellement surprenante) Il l'a déjà fait, il peut le refaire, il est capable de casser à peu près n'importe qui lors d'une séance d'interrogatoire musclée. Le plus dur à toujours été d'attraper, quand on sait qu'ici, à Sécaria, on peut garder à vue un suspect à volonté, le mec qui pense se sauver par le gong et qui s'accroche à ça pour pas craquer, ici, il rêve les yeux ouverts... Dans cette capacité on pourrait mettre aussi convaincre , ce qui correspondrait à avoir l'initiative dans une situation, ou laisser voir la petite flamme qui brille au fond des yeux, avoir l'air passionné... ça, malgré tout, malgré le doute et les intempéries, il saura toujours le faire... surtout pour une jolie jeune fille, toute souriante et bien gaulée. on naît Hume, on le reste.

Signes particuliers : Il évite d'avoir des tics, il n'aime pas se faire remarquer, pas qu'il veuille, à l'instar d'un Mike Riker, ménager un effet de surprise sur ses opposants, mais juste qu'il pense avoir passé l'age des excentricités. Il ne lui en reste pas moins cette habitude qu'il à prise à ruminer dans sa barbe un gromelaud incompréhensible lorsqu'il se trouve en filature ou sur une scène de crime, c'est ça façon de rassembler ses idées et de se concentrer intensément en quête d'indice(s).
James O'Malley Photossurtabledenuit.th

ci-dessus : table de nuit du commissaire O'Malley, détail.


Dernière édition par James O'Malley le 29.11.09 15:44, édité 4 fois
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James O'Malley Vide
MessageSujet: présentation, suite et fin.   James O'Malley I_icon_minitime27.11.09 21:25

V ème et dernière partie... l'histoire !

Un jour, James naquit. c'est ainsi que tout commença...
9 mois très précisément après que son père, Franklin O'Malley, demande fougueusement sa mère en mariage, le petit James vint au monde. Il vécut une enfance joyeuse dans une famille heureuse jusqu'à la fin de ses études, payé par son grand-père maternel, Jaquier.
(Vous remarquerez ainsi qu'il porte en 2nd prénom le nom de son père, et en 3ème un nom composé de celui de ses deux grands pères, typique des bonnes familles.)
Il décida lui-même d'entrer en école de police ou il fut un élève assez bon. Il remporta son diplôme du premier coup et devint brigadier à 20 ans passés. Il fut rapidement promu chef de brigade grâce à sa propension naturelle à être écouter et à s'imposer; car en effet, s'il n'était guère une flèche, il avait un côté poète et passionné qui, mis à mal par son service d'entrainement, n'avait étrangement fait que s'endurcir et s'affirmer, et c'était à présent un homme d'honneur et de convictions, au regard posé et à la voix sûre. Ses coéquipiers l'auraient suivi dans le ventre des enfers, s'il l'avait décidé, car ils se sentaient bien guidés, et en sécurité. L'histoire prouva qu'ils eurent raison, puisque son équipe ne connut presque jamais aucune perte, jusqu'à son affectation au sud de Sécaria aux alentours de ses 30 ans. On l'incorpora alors au service d'éducation de rue de la banlieue Sud, ce qui équivalait à faire la médiation entre les différents clans et gangs du quartier et le service de police de la zone, afin de calmer les débuts d'émeutes et d'éviter ainsi toute nécessité d'en venir à la répression. Il pris son rôle à cœur, notamment à cause de ses qualités humenistes, et devint le principal porte parole des habitants dans ce conflit. Il demanda le transfert de son local de fonction sur sa zone de travail, c'est à dire au cœur de la banlieue, et entrepris un échange plus personnel avec les groupuscules armés.
Le courant passa très vite, et il se rapprocha d'eux bien plus que des autres officiers : ils avaient un air triste et sage gravé sur le visage, un regard profond propre aux miséreux rebelles, une sorte de carma qui était étranger aux hommes d'acier de la police, et qui charmait au plus haut point son esprit Bohême. il leur apprit à lire et à écrire, accueillit des jeunes dans sa maison plus étanche et mieux isolée, participa aux chasses et aux taches ménagères, et devint peu à peu membre de la communauté.
-Vis à vis du contexte, il faut savoir que de nombreuses communautés ont émergées durant cette décennie, basées sur la mixité et l'égalité des Humenoïdes et êtres pensants. On attribut généralement ce phénomène à l'éducation humeniste de cet époque, portée entre autre par la littérature de Vah Kalan, Du pensant et du droit civique, de Bimbonaud & autres esprits du siècle, ainsi qu'à la très en vogue poésie de Hugman Loppra, La pelote de temps in Végétals .-
Les risque d'émeutes étant dissipés, la médiation de l'officier O'Malley s'étant soldée par un franc succès, le maire de l'époque (plutôt pour le peuple) , afin de mettre en valeur cette action et d'éveiller les consciences au partage, ainsi que pour s'accommoder de l'esprit de son temps, en fit un exemple en le décorant publiquement et en le promouvant commissaire. Quelques années après, ( James avait alors 37 ans ) une loi malencontreuse en faveur des Humes vint catalyser de vieux démons dans une nouvelle inégalité, et les communautés se dissocièrent plus ou moins brutalement. Le commissaire, rejeté passivement, se contraignit à accepter une mutation au nord, et se sépara ainsi de ses seuls amis. Le maire, cela va sans dire, ne fut pas réélu.
Cette même année, la maladie emporta son père.
Le commissaire O'Malley avala difficilement ces couleuvres, et ouvrit son nouveau cabinet un peu comme on ouvre la mâchoire chez un dentiste. C'est d'ailleurs au retour de cette vie de Bohême qu'il fit soigner ses dents cariées. Comprenant que les élitistes reprenaient les rennes du pouvoir, et que les inégalités allaient s'accentuer, et constatant aussi avec une certaine réjouissance qu'on l'avait totalement oublié, et qu'il passerait donc inaperçu, il entrepris de transférer un grand nombre de ses hommes afin de ne garder qu'une poignée d'agents fiables, et de faire -au moins dans son secteur- triompher la vraie justice. Cela fonctionna un temps, mais une poignée d'homme ne dupe personne, et on comprit bien vite qu'ils ne représentaient pas un danger. Peut être James comptait-il sur le bon sentiment de ses hors-la-loi ? Toujours est-il qu'en n'ayant pas compris que l'age de l'honneur était révolu, il avait commis sa première erreur. Ses effectifs furent de moins en moins bien reçus, puis carrément maltraités et violentés. Puis, le jour ou Dwayne fut retrouvé pendu et lacéré, couvert d'urine, un bâton calé d'au moins 20 bons centimètres entre les deux fesses, les demande de mutations-sous peine de démissions- plurent. Ne souhaitant pas sacrifier, sur un coup de colère, toutes les carrières des hommes qu'il jugeait par ailleurs valeureux, il se résolut à les signer. Un seul d'entre eux eut à cœur de rester aux crochets du commissaire; c'était un jeune nouveau, qui avait l'air d'en vouloir. Il resta plus de 5 ans en temps que second du commissaire, pour finir par démissionner lui aussi, oppressé par la présence en ville d'un tueur nommé Frite... Il s'appelait Waits, ce garçon là... et c'était...
"...une lopette. Franchement... Des tueurs... mon dieu ! quelle nouveauté... p'tit con, va... Pfft...la jeunesse... Bah, y d'vait en avoir marre de m'supporter... Eh moi, bah voila, t'es tout seul, maintenant, mon grand... Eh ouais... bah ouais, tu l'as voulu, tu l'as eu, Hein?... Faut pas t'étonner... Ah... misère de misère..."
Le commissaire, à présent seul dans le bar, sirote son Gérety en attendant la fermeture. Il rentrera ensuite s'allonger sur la banquette austère de son cabinet, mais c'est pas sûr qu'il dorme. Il faut aussi qu'il pense à poser une annonce, histoire de voir si il n'y aurait pas un sombre crétin assez idiot pour tenter l'expérience d'adjoint officieux d'un commissaire déchu. Remarque, peut-être bien qu'il y en a ici qui ont encore une idée de la justice, qui sait ? et puis, peut-être qu'avec une petite prime...
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Seel

- Très surfait - PATATE royale avariée

Seel

Signalement : Fragment de l'Etrange, 1m90, cheveux noirs, yeux très verts, peau pâle, yeux cernés de rouge par la fatigue, la maladie et la dépendance. La lumière est comme déviée de lui.Élégant en noir, porte toujours des gants. Charismatique de par son statut de démon, voir même beau. Mais finalement plutôt effrayant et dérangeant. On ne cherche pas sa compagnie. Aura glaciale : La température chute au fur et à mesure que l'on s'approche de lui. Le contact de sa peau nue dépose une pellicule de glace sur les objets et la chair, gèle et coagule tout à long terme ( Peau à environ -15 degrés ). On peut le toucher à travers le tissu.


James O'Malley Vide
MessageSujet: Re: James O'Malley   James O'Malley I_icon_minitime29.11.09 13:29

Attends attends. Tu n'as pas été validé et ton avatar n'est pas aux normes. je déplace ta fiche dans la bonne partie et j'archive ton premier post pour l'instant. Mike Riker va s'occuper de toi sous peu.
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https://night.forumactif.fr
Mike Riker

- Inspecteur Labiture - Fait très bien le cygne

Mike Riker

Signalement : Hume


James O'Malley Vide
MessageSujet: Re: James O'Malley   James O'Malley I_icon_minitime30.11.09 4:18

Avatar rectifié donc je valide
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MessageSujet: Re: James O'Malley   James O'Malley I_icon_minitime

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