I. Identité:
Nom : Se le garde pour lui
Prénom : Léon mais à toujours détesté ses parents pour cet acte ignoble.
Surnom : Pan
Sexe : Mâle
Age : 225 ans
Race : Razhal
Idéologie : Comorra
Métier :Marchand Magouilleur
II. Conscience du monde et Magie:
Connaissance des extra-tyrestres : Oui
Conscience : Eveillé
Technique : //
Spécialisation : //
III. Descriptions:
Description physique :
Pan est imposant, là où il passe on le remarque. Une grande silhouette sombre, à la démarche dodelinante, hésitante. Quand il s’approche de vous un sentiment étrange parcourt votre corps, un mélange entre une crainte malsaine et une envie de ne pas prendre cette chèvre au sérieux.
Une fois que Pan sort de l’ombre qu’il affectionne, ce sentiment est renforcé. Un imposant torse sombre et sale ainsi qu’un pelage qui tire sur le gris noir cendre, il s’agit certainement d’une coloration à base de reste de tabac ou autre. Ses yeux ont un doré sombre et malsain si bien que quand il vous fixe on a l’impression qu’ils sont à la recherche d’une faille à exploiter contre vous. Au-dessus de ces derniers sont fichées deux imposantes cornes qui se recourbent vers l’arrière du crâne. Il aime y placer quelques bijoux étranges, des signes inquiétant pour renforcer son aspect sombre.
Lorsqu’il parle avec sa voix grave, qui fera résonner tout votre système nerveux d’un frisson étrange, un certain magnétisme se dégage, une envie irrésistible de côtoyer le coté obscure, même si l’odeur vous arrêtera.
Mais lorsque qu’on regarde sous ce torse massif et inquiétant, les constructions mécaniques qui remplacent ses jambes sont simplement ridicules par rapport à l’image qu’il essaye de se donner. Il possède deux prothèses mécaniques en bois mince, vulgairement décoré, quelques rouages crasseux dépassent de si et de là. On a l’impression que si il se tient plus longtemps debout elle vont se rompre à tout moment.
Description morale :
« Quand y en a pour un, y en a pour moi ! »
Pan est un être orgueilleux, cupide et avide. Il ne s’en cache pas. Il cultive son image d’être dangereux et étrange. Il va toujours rechercher à vendre au pauvre pigeon qu’il croise un échange de service défavorable pour son client. Il arrive toujours dans les situations désespérées, ou fait en sorte qu’elle le devienne pour vous proposer un contrat ignoble. Il a choisis avec soins son surnom, en étudiant la mythologie de chaque planète qu’il a visité. Et quoi de mieux qu’un dieu qui a la forme d’un satyre et qui a un penchant bestiale et des addictions pour le vin et la chaire ?
Il garde cependant quelques activités nourricières pour subventionner ses plans machiavéliques. Dans un entrepôt bien caché dans la brume, il a amassé une quantité phénoménale d’objets au court de ses voyages ou de ses différents larcins. Et en sous mains il vend des armes a qui payera le mieux.
Il aime théâtraliser ses entrées et ses sorties. Même si chaque soir il tente de conquérir le monde, il foire toujours le détail clef, certains jours juste parce qu’il trouve ça drôle, d’autre jours parce qu’il ne prépare les choses qu’à moitié. Ses effets de styles arrivent comme des monuments chamarrés qui s’effondre au moment le plus cruciale.
Il est dangereux sur un plan mental et physique de le côtoyer trop longtemps.
IV. Précisions supplémentaires:
Ses jambes n’avancent qu’on sont de chansons. Elles affectionnent les chansons paillardes, mais ces derniers temps elles sont devenues capricieuses, elle refuse d’entendre deux fois la même chanson, et on des envies aléatoires. Par contre elles détestent toujours les mêmes : soyevur hôtel et les bruits de casseroles. Si l’ambiance sonore ne convient pas à ces dames elles feront le contraire de ce que veux leur porteur.
L'une des papattes est aussi un peu plus courte d'où sa démarche titubante.
Style de combat :
Patate Man-shu et Corne belliqueuse !
Talents particuliers :
Avoir la capacité remarquable d’échouer un plan en plantant le détail le plus important.
Signes particuliers :
Pates antérieures en bois et poils noir luisants de reflets verdâtres.
V. Histoire:
« Tu vois petit, je ne vais pas te raconter d’histoires… Juste une la mienne… Non non non, garde la poudre c’est cadeau. Oui fait toi plaisir ! Donc je te disais… Ah oui, tu devineras jamais ou je me suis réveiller l’autre jour… J’aurais juré avoir passé quelque jours dans le corps d’une chèvre… j’étais conscient et tout… Mais j’ai dû abuser du pistou… j’ai retrouvé mes esprit dans un de ces jardins secret des palaces suspendus… Pfiou j’ai horreur de ne pas avoir mes esprits, hein gamin ? »
Le jeune toxico fixait maintenant les lumières dansante qui virevolté dans ses hallucinations. Bien assis confortablement dans une alcôve sombre de ce bar miteux.
« Gamin ? T’es toujours là ou pas ? »
Il fit un petit mouvement de la tête pour manifester un certain niveau de conscience résiduelle.
« J’me sers dans ton portefeuille pour ce que tu me dois pour le petit cadeau, ça te dérange pas… »
Il voulut protester mais les mains du razhal fouillaient déjà sa veste et en sortit rapidement un petit étui en cuire.
« 5 caras ? Gamin tu me déçois ? Ça ne suffira pas… file-moi ton bracelet… voilaaa... merci à toi... »
Tandis qu'il finissait de tout ranger dans son sac, il reprit de plus belle :
« Tu sais quoi, tu me rappelles moi quand je suis arrivé ici... Il y a… pfou 24 ans, oué ça doit être ça… On venait de me poser mes belles jambes… Elles sont belles hein ? »
La pauvre victime se tourna vers Pan le regard vide de toute d’activité cérébrale apparente.
« Oué hein elles sont belle… J’tavourais quand même que je préférais mes pattes de chairs et de sabot. Par le grand cornu ! J’courrais comme une petite razhal qui ne m’aurait jamais connu ! Comment je les ai perdues ? Bonne question petit ! »
Il constata que l’effet de sa petite poudre planante s’estompait, sa proie commençait à cligner des yeux. Il fit un petit geste à la serveuse pour qu’elle lui rapporte deux verres de gerety. Sa proie à la sortie de son voyage dans le cosmos, si il réussit à l’assommer avec un peu d’alcool il en fera ce qu’il veut. Il fallait arrêter le monologue décousu et frapper précisément là où il arriverait à obtenir de la pitié, ou quel que soit le nom de ce sentiment. Un nouvel individu qu’il mettra dans une situation délicate et qui lui sera éternellement redevable bien sûr. Les deux verres arrivèrent sur la table.
« Tu vois ces jambes, je les aie perdu alors que j’essayais de sauver ma belle Perséphone. Elle était belle gamin, des cornes comme jamais t’en a vu. Tu vois ce petit sigle en cuivre enroulé autour de ma corne ? C’était le siens… On s’aimait gamin, comme jamais t’a aimé quelqu’un, même pas ta mère ! Et tu vois comme on venait tout le deux de belles familles de… »
« Chheevre…. »
Ca y est sa conscience revenait dans son corps… Il luit mit son verre d’alcool dans la main…
« Tu sais que tu me blesse la gamin, faut pas me parler de chèvre… »
Il fit une fausse moue triste… et avala d’une traite son verre d’alcool dont il avait pris soin de transvaser la moitié dans celui de son invité. Qui buvait le siens sans en avoir réellement conscience, mais il avait visiblement l’air ému par la détresse soudain du razhal.
« Tu vois gamin, on allait se marier avec ma belle Perséphone… Mais ce fut jusqu’au drame bien entendu… Le jour de la cérémonie on avait pleins de chèvre, une tradition, tu vois ça reste un peu notre version a nous du mysticisme…. Mais tu vois maintenant moi le mysticisme razhal ça me rend malade… J’peu plus voir une chèvre… trop de mauvais souvenir… Ma belle Perséphone… Mes jambes… Ça me rend fou… »
Il attrapa un bout de bois, et le mis entre les mains du jeune perdu.
« Tu sais quoi gamin… Devant le bar y a un enclos a chèvres… tu veux me rendre un service ? Tu m’es bien redevable… Tu peux aller t’en débarrasser pour moi ?»
Il prit le manche de pioche se leva difficilement…
« Bien sûr P…p…Pan tout ce que tu veux, j’te dois… bien ça… »
Pan regardait son futur esclave se diriger vers son destin. Il ira faire un carnage dans le troupeau de chèvres placée devant le bar et demain quand il reprendra ses esprits et qu’il s’apercevra qu’il a des razhal aux fesses ou des propriétaires peux enclins au compromis il reviendra le voir. C’est certain.
Il se leva doucement satisfait de sa soirée, il ajustait sa sacoche en cuir quand un hume entra en trombe dans le bar…
« PAN !! Y a un taré qu’est entrain de massacrer tes chèvres ! »
Pan écarquilla ses yeux dorés, comment avait il put oublier que les chèvres qu’étaient devant le bar il était venu avec pour les vendre à autre pigeon…
« Merde… GAMIN attend… maudite jambes…
Le curé de sécratia a les… »
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Sujet: Pan 
06.03.11 14:22
