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 Rukia | Une luciole parmi les fleurs

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Rukia

SM de la liane

Rukia

Signalement : Hûme Végétalis, 1m60 environ et la vingtaine à peine. Les cheveux longs jusqu'aux hanches, plus blancs que neige. Des yeux verts, contraste saisissant d'un teint devenu etrangement pale depuis peu


Rukia | Une luciole parmi les fleurs Vide
MessageSujet: Rukia | Une luciole parmi les fleurs   Rukia | Une luciole parmi les fleurs I_icon_minitime04.03.11 17:23

I. Identité:

Nom : //
Prénom : Rukia
Surnom : La luciole ; la fougère ; Hey-toi-là !
Sexe : Non, merci ! Féminin
Age : 23 Printemps
Race : Hûme Végétalis
Idéologie : Yggdrasilienne.
Ayahuasca a écrit:
Idéologie qui consiste à penser que les arbres sont l'alpha et l'oméga de la vie
L'Arbre est monde et le monde est arbre, what else ?
Métier :
En Adhénor je suis une Sylphide. Discrète mais omniprésente afin d'alléger le quotidien de ma reine. Aussi bien en ce qui concerne sa santé et son bien-être que sa survie face aux dangers de la forêt. Récemment envoyée par elle et le grand conseil en quête d'informations sur la mystérieuse disparition de la précédente délégation Végétalis, je compte bien une fois de plus, faire de mon mieux pour m'acquitter de cette tâche pour le moins délicate.


II. Conscience du monde et Magie:

Connaissance des extra-tyrestres :
Pas la moindre. La nature de Tyr regorge pour moi de surprises et de mystères pour ne pas m'étonner outre mesure de toutes les bizarreries qui peuplent cette planète.

Conscience :
Bienheureuse. Je ne comprends ni n'explique la magie. Je me contente de la vivre, le plus naturellement du monde.

Technique : Rough

Spécialisation :
Luminothérapie. La lumière éclaire mon chemin, car l'essence que je vénère guide mes pas au travers de l'obscurité. Concrètement ce pouvoir se manifeste par une aura immaculée émanant de mon corps dans son entier et possède à lui-seul la vertu de dissiper mes propres craintes ou encore d'apaiser temporairement les tourments qui peuvent éventuellement gangrener votre esprit. En outre, il est purement instinctif et reflète bien souvent la vocation qui est mienne de venir en aide à quiconque en ressent le besoin ou non.


III. Descriptions:

Description physique :
A l'instar d'une jeune fleur à peine éclose, je prends mes racines dans la terre et me nourris du ciel et du soleil pour grandir et m'épanouir parmi les hommes sans jamais sonder la profonde noirceur qui peut parfois habiter leurs coeurs. A défaut je m'éteins, me battant pour survivre sans vraiment avoir les moyens d'y parvenir. Sauvage diront certains alors qu'il n'en est pourtant rien. Un léger sourire presque inconscient sur mes lèvres liliales. Bercée dans l'illusion d'un monde tout aussi pure et magnifique que celui dans lequel j'ai vécu toute ma vie. Émerveillée par ses mystères et sans la moindre inquiétude face à l'incertitude. Mère Nature m'a modelé en son sein et accouché à son image. Elle est également la seule qui me porte chaque jour jusqu'à ma destinée.

D'une simplicité enfantine. Je suis la discrétion. Le silence relatif de la brise printanière s'engouffrant avec aisance entre les branches. Je m'arrête un instant, tends une oreille attentive à son chant qui ne connaît nul semblable. Puis attends patiemment son étreinte, mettant mes sens au supplice de ne pas être en mesure de déchiffrer le moindre de ses messages. Je frissonne, car trop peu vêtue pour ce climat hostile. Sans pudeur face aux attributs féminins qui m'ont été offerts à ma naissance. Un corps d'autant plus sain et agile que je me nourris exclusivement de fruits et de légumes, bien que chétif et dépourvu de formes aguicheuses selon les normes humesques. Une silhouette longiligne et de taille relativement moyenne qui me fait souvent paraître insignifiante aux yeux de mon peuple.

Mais ici, à Secaria, se pressent sur moi des regards insistants dont je me passerais volontiers si seulement j'avais le pouvoir de me fondre dans le décor, au risque d'en devenir tout aussi terne et austère. Je suis une femme étrange, presque un animal, aux coutumes qui le sont encore plus. Mes pieds nus engendrent la condescendance. Le vert trop intense de mes yeux rappelle sans cesse que je ne suis pas d'ici. Née loin du froid insipide de ces murs bâtis de pierres et de métaux. Tandis que ma longue chevelure, éternellement libre de danser jusqu'à mes hanches, rivalise de reflets argentés avec ce ciel dénué de ces couleurs que j'affectionne tant d'ordinaire.

Alors je redouble de présence pour ne pas perdre cette lumière si chère à mon être. Quitte à en être déplacée, j'existe à ma façon. Dans la douceur d'un geste sans forfaiture. Dans l'attention particulière que je porte à chaque créature dotée de conscience qui croise mon chemin. Les traits fins de mon visage figés dans l'affabilité. Incapable de la moindre imposture, je donne sans compter, car je ne possède rien qui me soit plus chère que la pureté de ma conscience.


Description morale :
Une curiosité déconcertante, franchissant allégrement les nébuleuses frontières de la naïveté. Cette méfiance non moins omniprésente que je refuse catégoriquement de voir s'exacerber par la peur de l'inconnu. Au cours de mon périple qui allait me conduire à Secaria je n'ai pu m'empêcher d'imaginer le pire. Séquelles immuables d'une vie entière passée en autarcie à ne me soucier que si peu de ces lointains cousins, de la futilité de leurs idéaux et sans doute plus encore de leur incompréhensible cupidité. Comme un virus mortel que je ne voulais pas connaitre puisque jamais je n'aurais imaginé y être exposée aussi brutalement un jour.

Depuis j'observe et j'apprends bien plus que je n'aie besoin. Mais je n'oublie pas de me concentrer sur les tâches qui m'incombent pour éviter de trop penser. Un esprit oisif amène le vice et je me dois de le tenir à distance de ma sérénité intérieure particulièrement mise à mal ces derniers temps. A commencer par cette insidieuse mélancolie qui me vrille les entrailles à l'évocation de ma si précieuse et trop lointaine forêt natale. Mais également en manque des repères spirituels auxquels je me raccrochais comme l'élément d'un tout au-delà de l'amour que je leur porterais jusqu'à mon dernier souffle de vie. Quoi qu'il puisse m'arriver sur ce territoire inconnu.

Sans regrets, car déracinée de mon plein gré pour servir des intérêts plus importants que les miens ne le seront jamais.

En général je m'applique à ne voir que le bon côté des choses et des personnes pour ne pas me laisser entrainer dans le cercle vicieux de la solitude. Passant outre les torrents de préjugés qui se déversent sans cesse à mon égard. Je vis dans la paix, en harmonie avec le monde qui m'entoure et finalement peu m'importe de quoi il est fait, car ce n'est pas le miens et ça ne le sera jamais. Je ne m'encombre guère du superflue. Aussi bien des possessions matérielles qui me sont de toute façon inutiles que tous les ressentiments qui pourraient entacher mon optimiste de quelle que façon que ce soit. Du moins j'essaie dans la mesure du possible. Je préfère pardonner a défaut d'avoir suffisamment de mal en moi pour élaborer de quelconque vengeances sournoises et stériles de surcroît. Parfois indignée, mais jamais belliqueuse. Je sais que chaque minute qui passe me rapproche un peu plus du moment où je pourrais enfin retourner chez moi.

Et cette idée me donne la force d'affronter le monde entier pour avancer.


IV. Précisions supplémentaires:

Style de combat :
Exclusivement défensif ou préventif dans le cas où je parviens à pressentir le danger suffisamment à l'avance. Comme une grande majorité de Végétalis, j'excelle dans l'art de la dissimulation en me hissant vers des hauteurs inaccessibles. Éventuellement un arc ou un couteau pour m'aider à me sortir de situations extrêmes. Mais l'esquive et la fuite restent encore mes meilleures armes et chances de survie en combat.

Talents particuliers :
Pour tout ce qui concerne le bien-être de la personne en général et je me débrouille également pas trop mal en danse et en chant.

Signes particuliers :
Je suis Végétalis. N'est-ce pas déjà amplement suffisant ?


V. Histoire:
Aussi loin que je m'en souvienne, je crois que je l'avais toujours su. Que mon destin serait de vivre auprès d'elle et pour elle. Le vert de ses yeux me disant combien je suis importante et unique me revient sans cesse en mémoire, aujourd'hui encore. A défaut d'avoir le moindre souvenir de ma mère revenue à l'état originel auquel nous aspirons tous un jour. Sa dernière goutte de vitalité sacrifiée à celle qui grandissait en son sein. J'ai eu la chance de voir le jour dans la communauté des Fleurs, loin de Dunime, loin de tout. Au coeur de la forêt, là où le silence n'existe pas, où la vie est présente dans chaque chose que nous contemplons et modelons aux besoins de notre quotidien. Pétale anonyme qui ressemble à toutes les autres et qui survie jusqu'au jour où on lui donne une identité propre. Rukia. « Celle qui donne » dans le dialecte de mes ancêtres. C'est ainsi que débuta mon existence de Végétalis. En tant que femelle de mon clan, on m'accueillit parmi les branches, on m'enseigna à devenir femme et on m'autorisa à m'émanciper des liens du mariage pour me satisfaire comme les autres Fleurs des hommes de passage entre autres. Tandis que nos frères et fils rejoignaient les tribus voisines dès leurs plus jeunes âges. Pour recevoir l'éducation des chasseurs, des bâtisseurs ou des agriculteurs, toutes ces tâches dont nous n'avions que faire sous la bienveillance de notre reine.

Etelvina était son nom. « La mère de toutes les sagesses ». Notre tige à toutes qui jamais ne plie pour nous maintenir hors du danger quel qu'il soit. Celle par qui nous trouvions la lumière et le réconfort dans ces moments où de sombres émotions humesques troublaient nos chemins.

Et troublée je l'étais avant de prendre place à ses côtés.

J'ai attendu ce jour avec impatiente. Celui qui célèbre chaque année le retour du printemps. Les festivités du pollen durant lesquelles nous devions nous unir à un ou plusieurs hommes venus nombreux à cette occasion. Afin qu'en hiver les cris de nos enfants emplissent la forêt du renouveau de la vie. Comme les autres filles de mon âge, j'ai bien du mal à rester en place alors que l'on nous pare de la tunique virginale et entremêle pléthore d'artifices florales dans la longueur de nos cheveux uniformément blancs. Je me tais soudain, lorsqu'elle apparaît enfin. Elle s'avance vers chacune de nous, nous offre sa bénédiction dans un sourire merveilleux.

« Tu es magnifique Rukia, ne laisse personne te dire le contraire... »

L'émotion de son amour me gagne à l'écoute solennelle de ces quelques mots. Depuis toujours je suis mise à l'écart. Trop de peu et pas assez de tout pour attirer l'attention. On me dit fragile et inutile, mais je n'en ai jamais tenu compte. Jusqu'à ce soir-là. Cette cérémonie où nous étions censés trouver notre propre destin. J'ai dansé jusqu'à m'en écorcher les pieds avant de me rendre enfin à l'évidence que le miens ne sera pas au rendez-vous. Alors, je m'éclipsais tout en douceur pour me réfugier dans mon havre de sérénité, sécher mes larmes naissantes contre la poitrine de ma souveraine. Bercée par les battements de son coeur je m'endormis en silence. Sans prononcer un mot qu'elle ne savait pas déjà.

J'ai rêvé d'elle. De son corps subissant les outrages du temps, fatigué du poids de ces années qu'elle avait de plus que nous et qu'elle savait si bien garder enfouis dans la chambre de ses secrets.

Et à mon réveil m'apparut enfin le but de mon existence.



Trois ans que le grand conseil m'avait officiellement reconnue en tant que Sylphide d'Etelvina. Qu'on m'avait autorisé à la défendre contre les dangers de la forêt lors de tous ses déplacements et assister avec elle aux assemblées des anciens. Trois ans également que je lavais et coiffais ses cheveux, préparais ses repas et ses vêtements, guidais ses mouvements parfois hésitants, effectuais tous ces gestes quotidiens qui prennent des allures de calvaires au fil de l'âge. Ma lumière délestait son esprit de ses tourments naturels tandis que sa circonspection amenait le sourire à mes lèvres et ravivait la couleur de mon teint. J'ai tenu bon face à ses premières réticences de me voir lui consacrer mon temps et mes préoccupations et elle ne mit guère plus de quelques jours à céder devant mon enthousiasme retrouvé et que jamais je ne perdis depuis. Autant de temps à renoncer aux hommes, aux plaisirs de la chair et, si ma faible constitution me l'avait permis, au désir presque inné de devenir mère à mon tour.

Elle disait que cela ne durerait pas... Et comme toujours elle avait raison.

Pour lui... Joran « Le clairvoyant ». Celui qui sait et voit au-delà des apparences. Parce qu'il était lui-même né à même la sève et le ventre nourricier d'Etelvina. Peut-être fut-ce là l'unique raison qui me convainquit de lui accorder autant d'attention qu'il m'en donna. A moins que ce ne soit justement parce qu'il fut le seul à s'être jamais intéressé à moi de cette manière. Aujourd'hui encore je l'ignore et le résultat reste le même : Trois années de plus pour construire une amitié sans faille. Pour faire de lui mon amant. J'appréciais sa compagnie aussi éphémère qu'elle pouvait être. Je n'attendais pas plus ses visites ponctuelles que lui-même ne venait dans le seul but d'être auprès de moi.

Et j'aimais cette simplicité plus toutes autres choses...

Ce matin-là, le rayon de soleil qui filtre paresseusement au travers du feuillage me parait amer sans que je n'en comprenne immédiatement la raison. Le conseil de la veille auprès de ma reine s'était déroulé comme à l'accoutumé. Malgré le climat d'appréhension que même moi en tant que simple spectatrice j'avais décelé parcourant l'assemblée. L'atmosphère est lourde. Quelque chose se prépare, mais cela dépasse largement mes simples facultés de compréhension. Je constate dans un état de semi torpeur onirique que ma reine est déjà levée en cette heure matinale. Je me hâte de la rejoindre sur la pointe des pieds pour ne pas réveiller Joran. Sans réaliser qu'il n'est déjà plus là lui non plus.

Le murmure de leurs voix m'attire non loin. Pour autant, je reste à distance, ne souhaitant pas interrompre leur discussion. Le ton est doux, mais vacillant. Je tends l'oreille en maudissant intérieurement ma curiosité.

« Ne part pas... » lui dit-elle.
« Ne t'inquiète pas tant pour moi, je ne suis plus un enfant... » Il sourit en déposant un baiser sur son front.

Et pour la première fois, je vis les larmes parcourir les cernes de son visage et les miennes lui répondirent au diapason.


On m'avait dit de me méfier du froid de Vanor. Je ne l'ai pas cru et j'avais tort. Je parcourais le triste décors d'un regard n'ayant jamais connu telle inquiétude. Cherchant en vain l'horizon. Avec le désespoir du condamné, je repoussais sans cesse le moment fatidique où je devrais sortir de cette chambre et appréhender la crainte que m'inspirait Secaria vu de cette fenêtre. Grouillante de présences étrangères. Tellement que le vertige me gagnait un peu plus à chaque seconde que je passais les yeux rivés sur l'extérieur.

« Voilà des semaines que nous n'avons plus aucune nouvelle... Qu'essaie-t-on de nous cacher qui justifie une telle disparition ? »
« Il faut se résoudre à envoyer d'autres émissaires... »
« D'accord, mais qui ? »


Contre toutes attentes, je me suis immédiatement portée volontaire pour ce voyage censé rétablir l'ordre des choses. Découvrir ce qu'il est advenu de Joran et des autres disparus par la même occasion. Déterminée à ne plus jamais entendre les complaintes de la forêt nous suppliant de lui rendre ses enfants. Il disait vouloir découvrir de ses propres yeux le monde extérieur et je n'ai pas même cherché à le retenir. Je le regrette désormais. Même si au fond, je ne crois pas que cela aurait servi à grand-chose si je l'avais fait. Etelvina n'a plus jamais été la même après cette décision absurde. Elle a bien essayé de faire entendre raison au conseil pour ensuite s'affaiblir de jour en jour en l'absence de son fils. Elle le savait mieux que quiconque que je ne rentrerais pas sans lui.

Je les aimais tous deux suffisamment pour cela.

Elle m'a fait promettre l'ultime sérénité de son esprit avant que ne survienne celle de son corps. Depuis je m'efforce de me concentrer au mieux sur ma mission, guidée au-delà des distances par la confiance qu'elle a placée en moi et approuvée par l'ensemble de mon peuple. Aujourd'hui le ciel se voile et le silence m'accable. Il me faut prier les arbres de me mettre sur la bonne voie. Afin de faire au plus vite la lumière sur cette vérité qui ne sera sans doute pas celle escomptée...

Si tant est que je parvienne seulement à la trouver.
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L'Autre Main

~Et encore un schizo sur le forum.~

L'Autre Main

Signalement : L'autre main du Destin (probablement la gauche) Compte PNJ réservé à la validation des fiches. NE PAS MP.


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MessageSujet: Re: Rukia | Une luciole parmi les fleurs   Rukia | Une luciole parmi les fleurs I_icon_minitime24.09.11 21:16

6 Mars 2011, Ermesynde a écrit:
Très jolie fiche!
Validée avec plaisir et hâte de te voir te geler à secaria
Wink


NB: Les fiches ont été nettoyées de tous les post non rp. Désormais, l'auteur du topic est le seul habilité à poster.

Ce topic vous servira à la fois d'étendard, comme de journal intime ou fourre-tout, tant que cela concerne Rukia.
Spoiler:
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Rukia

SM de la liane

Rukia

Signalement : Hûme Végétalis, 1m60 environ et la vingtaine à peine. Les cheveux longs jusqu'aux hanches, plus blancs que neige. Des yeux verts, contraste saisissant d'un teint devenu etrangement pale depuis peu


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MessageSujet: Re: Rukia | Une luciole parmi les fleurs   Rukia | Une luciole parmi les fleurs I_icon_minitime06.10.11 11:17

Carnet d'adresse et historique des topics



||_Mr Johnson>

    Selena
    Une connaissance rencontrée au hasard de mes errances. Le hic c'est que je risque de ne plus m'en souvenir dans peu de temps.

On s'connait ?


Fraîchement débarquée à Secaria (on va dire quelques semaines tout au plus) Rukia a passé plus de temps à s'accoutumer au climat plutôt qu'aux gens... Cela dit, vous avez pu la croiser ici et là en train d'errer comme une âme en peine à la recherche d'un arbre (ou autre) que jamais elle ne trouva
Quant à sa vie d'avant, elle se résume à Adhenor et plus précisément la communauté des Fleurs dont elle a suivi la reine comme son ombre ces six dernières années. Il est donc possible que vous l'ayez aperçu à ce moment là, why not ?
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MessageSujet: Re: Rukia | Une luciole parmi les fleurs   Rukia | Une luciole parmi les fleurs I_icon_minitime

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