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 Doc Wilanders

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Prof. Jeanne Wilanders

- Hohoho ! Géééant vert -

Prof. Jeanne Wilanders

Signalement : Hume


Doc Wilanders Vide
MessageSujet: Doc Wilanders   Doc Wilanders I_icon_minitime11.06.10 22:27

I. Identité:

Nom :Wilanders
Prénom :Jeanne
Surnom :Prof, Prof Wilanders, « la vieille qui crèche au milieu des plantes », et encore d'autres moins respectueux.
Sexe :Féminin
Age :47 ans
Race :Hume
Idéologie :La Science, avec un grand S, et c'est tout.
Métier :Botaniste (d'après elle, on dit Docteur en biologie végétale mais c'est tout juste si elle a pu apprendre à ceux qui la connaissent d'arrêter de l'appeler « jardinière »)


II. Conscience du monde et Magie:

Connaissance des extra-tyrestres : Pour un esprit aussi éveillé que le sien, il serait dur de ne rien avoir vu, alors oui, elle connait leur existence, mais comme ces étranges créatures n'ont pas eu l'amabilité d'amener avec eux ne serait-ce qu'une petite spore de leur monde natal, ça n'a vraiment aucun intérêt pour elle.
Conscience :Éveillée : Lors de ses études dans la jungle Adhénorienne, elle n'a pu passer à côté de la merveilleuse vitesse de mutation des plantes et son esprit aiguisé a immédiatement fait le lien avec l'étonnante diversité des humes vegetalis qu'elle étudie pour la première fois à cette époque. La magie ne l'intéresse pas en tant que telle, mais elle a rédigé une audacieuse thèse sur le puissant catalyseur de mutations qu'elle représente. Thèse évidemment censurée.

III. Descriptions:

Description physique :Dans un autre monde, Jeanne Wilanders aurait pu être une belle femme. Avec un peu de maquillage, une coiffure plus à la mode, des vêtements moins... moins pratiques, à vrai dire. Mais même là, il aurait été un peu présomptueux de parler de beauté fatale. D'abord parce qu'avec son maintien de vielle harpie, sa mine renfrognée et ses énormes loupes posées sur le nez, elle tient plus de la bibliothécaire vieille fille que de la charmante danseuse de cabaret que courent les garçons lorsqu'ils n'ont pas encore de plomb dans la cervelle. Ni même que de la rassurante matrone qu'ils épousent lorsqu'une déception amoureuse leur en a mis, du plomb.
Ensuite parce que ses frusques confirment cette première impression.
Et enfin parce que ses lèvres trop minces tranchent méchamment dans un menton très – trop – volontaire, que son nez trop long n'arrange rien question longueur de visage, et qu'en plus de ça, elle pourrait avoir dix ans de plus que ça ne changerait rien à son physique.
Bref, ce n'est pas que Jeanne est moche, non, c'est... autre chose. Juste physiquement inintelligente. Oh, en soi, un homme désespéré ne renoncerait pas à lui faire la cour, s'il y songeait ; mais franchement, personne n'y songe en voyant Jeanne. Elle fait partie de ces créatures sans age et sans sexe crées pour autre chose que les joies de l'amour...

Description morale :
On ne peut vraiment pas traiter les gens d'acariâtre comme ça, sans qu'ils ne vous aient rien demandé, ce n'est pas convenable. Mais bon, il faut dire ce qui est : Jeanne Eileen Wilanders est plus proche de la harpie que de l'ange. Ce n'est pas qu'elle ait réellement un si mauvais caractère, mais les humes – ou devrais-je dire l'Huménité – ne l'intéressent pas le moins du monde. Elle n'est même pas vraiment misanthrope ! C'est juste qu'entre une précieuse Cypripedium acaule et votre vie, elle n'hésitera pas un instant. Et ça ne penchera pas en votre faveur. Après tout, les humes sont bruyants, grossiers, sentent la sueur et grouillent de partout, comme ces pucerons qui s'attaqueraient à ses plantes adorées si elle n'était pas aussi vigilante. Ses seuls contacts avec ses semblables consistent en quelques scientifiques jugés vaguement dignes d'intérêt, des herboristes et pharmaciens en tout genre, et d'autres sortes de commerçants, plus du genre à passer la marchandise sous le manteau, qui récupèrent d'autres variétés de plantes (que voulez vous, l'amour de la science exige parfois qu'on se permette de s'écarter un peu de la loi). Dans l'ensemble, pas beaucoup de gens passionnants.
Si, il y a quand même certains Humes intéressants. Il est presque superflu de préciser lesquels mais pour le cas ou se trouverait ici des simples d'esprit, nous allons le faire quand même. Doc Wilanders est fascinée au plus haut point par les humes vegetalis. Pour elle, ils constituent un degré d'évolution supérieur aux humes evolus, et elle leur accorde un peu plus de considération qu'à ses semblables. Mais croyez moi, ça n'a rien de rassurant pour eux ; elle rêve plus que tout d'en disséquer un ou deux, histoire de savoir ce qu'ils ont dans le bide.
Et les hommes, dans tout ça ? Ne vous risquez pas à en parler devant elle. Un jour – il y a très longtemps – elle aurait eu un béguin, une passade, mais dont elle serait ressortie plus sèche et inhumaine que jamais.
Son seul amour a toujours été la Science, le savoir, la connaissance. Elle les aime, les chéri, leur consacre sa vie – peut-être était-ce au départ pour fuir quelque chose, mais aujourd'hui c'est sa seule raison de vivre.
Il semble également qu'elle ait tenté d'intégrer les plantes à son mode de vie tout entier ; végétarienne, elle ne boit que de l'eau, dort dans ses immenses serres au milieu de palmiers exotiques et certaines mauvaises langues prétendent même qu'elle userait de la photosynthèse pour survivre.
Enfin, c'est ce qu'on raconte. D'un point de vue plus rationnel, elle mange peu de viande – mauvaise pour sa santé - et garni sa chambre d'une quantité impressionnante de pots de fleurs. Et, sans doute, sa mauvaise vue la contraint à travailler dans des milieux bien éclairés. Quand à la boisson, elle ne s'adonne pas à l'alcool ; en fait, son seul lien physiologique avec les plantes viendrait plutôt de ce qu'elle roule dans ses longues cigarettes. Pas de la drogue, non, bien sûr, juste quelques « plantes médicinales », qui lui « ouvrent l'esprit et facilitent son travail de recherche ». Travail de recherche financé par on ne sait trop quoi, vu le peu d'enthousiasme des officiels à financer une serre tropicale dans un milieu aussi peu propice aux cultures que Sécaria. Trop couteuses à chauffer, le soleil pâle et les courts étés n'y suffisant pas. Peut-être sont-ce les cultures de la mystérieuse aile Ouest qui permettent à Jeanne de garder en état ses splendides verrières, davantage que son commerce – tout à fait légal – avec l'apothicaire de la ville.
Ce qui est sûr, c'est que le docteur Wilanders est prêt à tout pour rester auprès de ses végétaux adorés. Et peut-être aussi pour oublier qu'ils l'ont un peu trop isolée de sa race à elle ? Allons donc. Botaniste, c'est une vocation. On ne renonce pas au reste de l'humanité, on la snobe volontairement. N'est-ce pas ?

IV. Précisions supplémentaires:

Style de combat : Probablement aucun. Personne ne s'est risqué à attaquer physiquement Jeanne Wilanders, on ne frappe pas les dames respectables. Quand à la joute verbale, n'y songez même pas : elle est maitre en la matière.

Talents particuliers :Langue acérée, main verte mais certainement pas cordon bleu. Sait tout faire avec les plantes, de l'arnica à l'alcool en passant par d'attrayants cigarillos à la fumée bleutée.
Signes particuliers : Porte deux culs de bouteille vissés devant ses yeux sans lesquels elle se perdrait dans sa propre serre.


V. Histoire:

GROS TITRE : LE DOCTEUR JEANNE WILANDERS PARLE
Sous Titre : La botaniste surdouée de Sécaria accepte de recevoir l'un de nos journalistes pour la première fois ; rétrospective d'une carrière brillante.

Les vocations extraordinaires s'expliquent parfois par une généalogie exceptionnelle, par une intelligence familiale transmise et accrue de génération en génération. Parfois pas. Léa et Matt Wilanders étaient des gens simples et agréables, s'aimant à la folie, et n'ayant pour seule vocation que de vivre soudés l'un à l'autre pour le restant de leur vie. Léa était laborantine, Matt préparateur en pharmacie ; ils s'étaient rencontrés pendant leurs études et avaient ouvert ensemble un petit café où ils amassèrent un joli pécule lorsque les produits chimiques eurent fini de leur casser les pieds.
Tout aurait été parfait, mais le ventre de Léa se mit soudain à s'arrondir jusqu'à cacher ses pieds, et par on ne sait quel miracle de la nature – celui ci avait été soigneusement calculé pour gâcher la vie de certains – il en sortit une petite fille à la figure assez curieuse. Trop longue pour une gamine, et à la mine vraiment trop éveillée pour quelqu'un qui vient de naitre. Elle s'époumona longuement à la sortie de l'utérus maternel, les yeux déjà grands ouverts sur le monde froid de l'hôpital.
Plus tard, lorsqu'elle relata cette naissance dont elle prétend encore se souvenir, elle se contenta de débiter laconiquement : Mammalia Theria Eutheria Primates Haplorrhini Simiiformes Catarrhini Hominoidea Hominidae Homininae Homini Humes Evolis, puis soupira.
Aujourd'hui figure de proue de la recherche en biologie végétale, elle a accepté de répondre à certaines de nos questions.

(Là, photo en noir et blanc d'une femme frisant la soixantaine, petites lunettes rondes sans monture aux verres très épais posés sur un nez fin à l'arrête cassée en deux. Elle porte une chemise de flanelle montant jusqu'à mi-cou fermée par un camé de facture grossière, une jupe maculée de terre et ses mains sont encore gantées. Quelques cheveux gris dans sa chevelure brune, un visage long, peu amène, des lèvres maladroitement barbouillées de rouge crispées dans un effort de sourire.)

Question : Vous avez très tôt commencé à expérimenter les propriétés des plantes, n'est-ce pas ? Quel aventure a éveillé votre intérêt pour les plantes ?
Réponse : (Le docteur se tourne vers le photographe, chuchote : « quoi, je dois vraiment répondre à ce genre d'âneries ? Enfin... ») Je n'en sais rien. Je ne devais pas avoir plus de cinq ans, alors franchement...
Q : Heu... oui, certes, mais il paraît que vous vous souvenez de votre naissance alors je pensais que...
R : Essayez d'être un peu plus éveillé jeune homme. Qui se souvient de l'accouchement de sa mère ? Pas moi. Mon premier souvenir conscient remonte à des études que j'avais menées lors de mes huit ans. J'avais testé sur moi même l'effet de certaines plantes et j'avais consigné tout cela par écrit dans un journal d'études. J'étais, il me semble, parvenue à d'audacieuses conclusions sur les usages potentiels d'une demie douzaine de plantes mais on me l'a confisqué et je n'ai pu remettre le doigt sur ces intéressantes déductions.
Q : Oui, oui, voilà. Hum. Vous aviez à l'époque été placée dans un pensionnat et envoyée chez un psychologue pour soigner ce que l'on pensait dû à des pulsions suicidaires, n'est-ce pas ?
R : Pourquoi poser la question si vous connaissez la réponse ? Non, je n'ai jamais essayé de me suicider. Je voulais vérifier que les fruits de l'if étaient aussi toxiques qu'on l'affirmait. A huit dans je n'avais pas d'autres manière de le faire.
Q : Si vous permettez, je vais seulement remettre un peu d'ordre dans mes fiches et...
R : Faites, voyons, j'ai tout mon temps, pensez vous bien. Recevoir un journaliste, c'est tellement plus exaltant que de poursuivre mes recherches...
Q : Ah... ah ? Vraiment ?
R : Bougre d'idiot. Remuez vous le train ou je m'en vais sur le champ.
Q : Oui, oui, bien sur professeur. Donc. Vous êtes partie dès la fin de vos études dans une expédition pour le continent Adhénor. Qu'est-ce qui a motivé ce départ ?
R : Vous ne posez vraiment pas les bonnes questions. Vous prenez vos lecteurs pour des imbéciles ? Qu'est-ce qui peut pousser une chercheuse en botanique à se rendre sur le continent ou la flore est la plus abondante ? A votre avis ? Vous voulez peut-être reformuler votre question ? Non, n'ouvrez pas la bouche, vous allez encore dire des sottises. Je vais m'en charger. Je suis partie sur le continent avec une expédition dont le zoologue venait de se désister suite à une forte fièvre ; j'ai pu me faire embaucher sans trop de problèmes, le directeur d'expédition avait beaucoup investi dans le voyage et ne pouvait l'annuler pour un ennui d'effectif.
Q : Comme zoologue ? Mais...
R : Silence, j'ai dit. Oui, comme zoologue, tout ce qu'ils voulaient c'est un type qui puisse leur dire si les bestioles qu'ils croiseraient étaient dangereuses ou pas. Il ne faut pas être bien malin pour comprendre que toutes les bêtes qu'on peut voir sur cette planète sont à approcher le moins possible et n'importe qui, avec un jargon scientifique moyen, peut se faire passer pour zoologue tant qu'on se borne à ce genre de questions. Je disais donc que je me suis rendue à Dumine et que j'ai pu y faire des études poussées pour compléter ma thèse sur la mutation spontanée des cellules du Sequoiadendron giganteum qui est exceptionnellement évidente dans la jungle Adhénorienne. C'est à cette époque que j'ai commencé à m'intéresser aux Humes Vegetalis ; ils sont véritablement fascinants, n'est-ce pas ? Malheureusement jusque là aucun n'a été volontaire pour un examen un peu plus approfondi, et je le déplore. Je n'ai pas dit mon dernier mot, cependant.
Q : Bien. Vous avez passé deux ans sur place mais êtes repartie alors que votre expédition avait prévu de passer deux années supplémentaires ; pourquoi ?
R : Allez savoir.
Q : Vous voulez dire que vous ne le savez pas ?
R : Je veux dire que vous feriez mieux de vous mêler de vos affaires.

(A ce sujet nous avons interrogé le docteur Vlaadimir Sertürner, venu en remplacement de l'ancien médecin de la hacienda pour une période courte. Il déclare : « Je dois dire que je ne fréquentais pas excessivement le doc, elle n'était pas ce qu'on appelle un modèle de courtoisie et je n'était de toute façon que peu friand des contacts humains, je ne passais que peu de temps avec les autres membres excepté pour les soins mais je n'en suis pas pour autant aveugle, et il n'est pas besoin d'être doté d'une intelligence exceptionnelle pour comprendre qu'elle s'est tirée pour une histoire de cœur. J'ai beaucoup de mal à comprendre comment on peut abandonner une expédition pour une raison aussi futile mais enfin, elle s'était rapproché d'un monsieur, et son départ à coïncidé avec l'arrivée de la fiancée dudit monsieur. Pas besoin d'être un génie pour faire le lien n'est ce pas?
Comment ça des détails? Oui, j'étais là pour la voir devenir blême en voyant bidule accueillir machin, mais je n'allais pas non plus aller la réconforter non ?
Elle portait d'ailleurs un ravissant tailleur vichy qui embellissait sensiblement sa merveilleuse chute de rein de loin ce qu'il y a de plus attractif dans sa physionomie.
Comment ça je digresse ? »)

Q : Vous ne regrettez pas d'avoir quitté l'expédition pour une affaire sentimentale ? Est-ce cet échec et le remord d'avoir quitté une expérience unique qui vous a poussé à faire une croix sur toute vie de couple ?
R : Et vous, c'est parce que vous étiez incapable de faire autre chose que vous êtes devenu un journaliste ? Un mauvais journaliste de surcroit.
Q : Mais vous n'avez jamais été mariée, n'est-ce pas ?
R : C'est un tabloïd ou un magazine scientifique votre torchon ?
Q : Alors vous refusez de répondre ?
R : Vous êtes bouché ou quoi ? Arrêtez avec vos questions stupides. J'exige d'avoir affaire à un autre journaliste.
Q : Mais voyons, docteur...
R : Parfait, vous expliquerez à votre patron pourquoi vous n'aurez pas la fin de cette interview. Dehors. Dehors !

(Là, notre journaliste a été mis à la porte des magnifiques serres du professeur. Il nous confie que « la mégère est sèche comme un crouton de pain, et paraît bien soixante ans, mais elle est forte comme un homme. J'aurai du planter des salades au lieu de me faire journaliste. Vieille pie. »
Pour ces raisons notre aimable lecteur comprendra que nous ne puissions poursuivre l'entretien que nous remplaçons par une courte biographie du professeur.)

De retour à Sécaria, le professeur Wilanders s'est aussitôt remise au travail et a constitué une formidable encyclopédie des plantes qu'elle avait pu observer dans la jungle dès sa thèse sur les mutations bouclée – elle mettra deux ans avant d'y parvenir, la première version ayant été refusée puis censurée par les instances scientifiques. La dite encyclopédie compte vingt-trois volumes et n'est disponible qu'au musée de la biodiversité et dans les serres du professeur.
Les serres en question constituent le projet majeur et le plus ambitieux de Jeanne Wilanders : manifestement déçue par son départ précipité, elle s'est empressée de tester la survie des plantes adhénorienne en Vanor, d'abord sous de modestes cloches de verre qui n'ont évidemment pas suffit. Ne voulant pas user en vain sa précieuse réserve de graines elle se lança presque aussitôt dans le phénoménal projet de bâtir d'immenses serres - grâce à l'héritage de ses parents, à divers investissement et un commerce florissant de plantes médicinales rares - dans lesquelles elle s'est réfugiée et enfermée à double tour. Malgré les supplications du public de rendre accessibles les édifices de verre, les serres restent encore privées et seuls quelques rares fournisseurs et les fréquentations – triées sur le volet – de la botaniste peuvent y pénétrer. Nous savons qu'elle garde un contact succinct avec le docteur Vlaadimir Sertürner cité plus haut et qu'elle commerce régulièrement avec certains apothicaires afin d'engranger un pécule suffisant pour entretenir son étrange demeure et poursuivre ses recherches.
Le professeur, quand à elle, déclare : « Les hommes sont grossiers, brutaux, incultes ; les femmes, pas beaucoup mieux, elles pépient sans cesse et sont d'une futilité à pleurer. Je vis très bien avec mes plantes, merci. Le docteur Sertürner ? Il m'amuse. Je le tolère, n'allez pas chercher plus loin. Lui et certains de ses confrères sont sur le dessus de la lie de l'espèce et il faut bien que j'entretienne quelques rapport avec le monde qui m'entoure, je reste tout de même soumise aux basses exigences de ma race. »



Dernière édition par Prof. Jeanne Wilanders le 23.06.10 1:36, édité 3 fois
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L'Autre Main

~Et encore un schizo sur le forum.~

L'Autre Main

Signalement : L'autre main du Destin (probablement la gauche) Compte PNJ réservé à la validation des fiches. NE PAS MP.


Doc Wilanders Vide
MessageSujet: Re: Doc Wilanders   Doc Wilanders I_icon_minitime24.09.11 21:42

11 Juin 2010, Talula a écrit:
Je viens de lire ta fiche, et je te félicite : elle très agréable, le personnage est bien monté et original, et ça ne manque pas de quelques grains d'humour.

Tu es validée.

Pour répondre à ta question, ce serait mieux si tu le mentionnais dans ta fiche. Tu peux faire un court paragraphe sur la question et sur les réactions de ton perso par rapport à ce qui s'est passé.

Voilà Very Happy



NB: Les fiches ont été nettoyées de tous les post non rp. Désormais, l'auteur du topic est le seul habilité à poster.

Ce topic vous servira à la fois d'étendard, comme de journal intime ou fourre-tout, tant que cela concerne Professeur Wilanders.
Spoiler:
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Doc Wilanders

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