I. Identité:

Nom : Kemintiri
Prénom : Alizia
Surnom : L'Amante Religieuse
Sexe : Féminin
Age : 28 ans
Race : Hume
Idéologie : Bienheureuse
Métier : Chanteuse de charme.


II. Conscience du monde et Magie:

Conscience : Bienheureuse.
Source : XXX
Technique : XXX
Spécialisation : XXX


III. Descriptions:

Description physique :
Comment vous dire. Elle se montre, c'est certain, mais elle se cache aussi. Elle montre juste ce qu'il faut pour capter le regard et y planter un hameçon qui fera remonter l'âme des gens a la surface de leurs visages tristes.
Immense, elle toise les males dominant comme une Reine antique regarde un esclave qui va à la mort pour construire Sa tombe. Du sud, elle n'a ramené que son nom exotique, et sa peau tient plus du marbre grec que des sables. Ses yeux et cheveux d'un noir parfait, le noir mange-lumière d'une bougie qu'on souffle, sont comme des contours sur son visage tout en finesse. Comme une aquarelle, Alizia n'est que courbe et pâleur, sa peau se tend sur son corps musclé et athlétique. Seul ombre au tableau, et c'est elle qui le dit, ses grandes mains, usées par l'entraînement rigoureux qu'elle "inflige" à son corps divin.
Ce corps, elle y tient plus que tout, et ce n'est pas pour rien qu'elle aime a le faire voir tout en laissant aux aventureux le loisir d'imaginer ce qu'elle garde pour elle. Grande robes pourpres et drapes uni et sombres sont ses préférences, mais elle sait que, comme il y a un temps pour chaque chose, il y a une tenue pour chaque choses. Elle garde les robes pour les scènes, et puisque la décence ne permet pas la nudité publique, quand elle doit se battre, elle ne porte qu'un léger pantalon et une chemise simple. Légère, prêt du corps, elle adapte sa tenue pour donner le moins de prise, avoir le moins de gène possible. Et si son adversaire veut se rincer l'œil au passage, qu'il en profite bien car il a rarement d'autre occasion.

Description morale :
Alizia a les idées claires. Après avoir passée trop de temps à se poser des questions, elle a trouvé les réponses dans la Foi. Foi en beaucoup de choses, mais pas en cet Etat qui se voudrait providence. D'abord, Foi en elle-même, en ses capacité martiale, artistique, en son indépendance, sa jugeote et sa débrouillardise. Foi en son petit monde, dans le regard des gens qui on envie d'elle, foi dans le sourire de sa logeuse, dans le vieux monsieur qui répare son tourne-disque. Foi dans le bon fond des gens, et dans la Justice, celle qui lui permet d'enfoncer un clou de six pouces dans la tête du mari abusif. Foi en un dieu sans nom, aussi, quand sa Justice a elle ne peut rien, quand les gens sont si haut perchés que seul un vieux bonhomme dans le ciel peut encore leurs mettre une claque pour les ramener sur Tyr. Et sur Tyr, il y a elle qui les attend.

La Foi, la Justice, le Bien, tout ça peut paraître un peu naïf de la part d'une grande fille comme Alizia. Et vous avez raison. Alizia parait si tellement parfaite, dit comme ça, c'est surtout qu'elle cache bien son jeu. Alizia est un peu une bombe a retardement. Si elle défend la Justice, c'est autant pour redresser les tord que pour sentir craquer les genoux des malfaiteurs sous son talon. Elle a Foi en la force contondante d'une batte en aluminium, et est convaincu que Dieu reconnaîtra les siens et protégera les Justes. Ce n'est pas un point de vue un peu extrême, c'est un vrai problème mental. Alizia est franchement psychopathe dès qu'on lui donne une bonne raison de se battre "à 100%".

Le seul souci d'Alizia, actuellement, ce sont les hommes. Les femmes aussi, en fait. Entre sa croyance mystique et son hyper-violence, son cœur comme son esprit n'ont pas vraiment de place pour une âme sœur, ni même pour l'aventure. Tant pis pour eux, après tout, ils y risquent peut être un peu gros a draguer Alizia.



IV. Précisions supplémentaires:

Style de combat :
Alizia se bat bien. Vraiment très bien, pour dire juste. Appelez ça du talent, de la force ou de la chance, mais elle est capable de se débarrasser d'un bon nombre d'adversaire plus ou moins bien entraîné avant de se mettre simplement à suer. Et la transpiration n'arrange rien a son humeur, en général, ce serait plutôt un signal pour qu'elle mette fin une bonne fois pour toute a un combat qui aurait trop duré. Quand elle se bat, la chanteuse ne fais pas dans la finesse, l'esthétique et le respectueux; Rien de chevaleresque. Elle a d'ailleurs un mépris certain pour ces gens qui tentent de réglementer et de coder la force pure du combat. Ce n'est pas le combat qui doit avoir ses règles, ce sont les hommes qui se battent. Et en aucune manière, Alizia se devraient de respecter des codes qui la feraient perdre. Elle se bat bien, on 'la déjà dit. Elle sait où taper pour quoi, elle connaît mieux le corps humain que certain des médecins de la région, et elle connaît ses limites. Alizia se bat avec n'importe qui, n'importe quoi, n'importe où. Le souci (pour les autres), c'est qu'elle gagne sans effort. Elle est terrifiante a main nue, elle est pire avec le premier objets vaguement oblong qu'elle pourrait trouver. Mettez lui un grand bâton entre les mains et elle élimine le crime organisé. Si elle le veut.
[Il est fort probable qu'Alizia fasse partie de ces gens qui usent de Magie sans le savoir, lui conférant un équilibre, une réactivité et une perception accrue]

Talents particuliers :
Mis à part ses talents martiaux hors pair, Alizia est une chanteuse à la voix douce et calme, et possède une bonne mémoire.
Signes particuliers :
Elle ne se sépare jamais d'une bague d'or très simple, qu'elle porte soit au doigt, soit sur une chaine autour du cou.

V. Histoire:
Alizia Kemintiri est née d'une mère danseuse dans un cirque ambulant et d'un père déserteur de l'armée. Ces deux voyageurs se croisèrent, s'aimèrent et plantèrent une tente commune au sud de Malengha pour un moment, le temps que la petite sache marcher. La petite famille qui s'était soudain formée avait cependant besoin de s'installer dans un coin lointain, jeune et dynamique, oublier un peu le voyage pour construire quelque chose. A l'époque, il y avait un mot synonyme de tout cela à la fois : Sécaria.

La vie d'Alizia n'a pas été aussi tumultueuse qu'on pourrait le croire. Elle n'est pas du genre à avoir tout appris sur le tas. Elle a grandit dans les jupes d'une mère aussi indomptable qu'elle, et si c'est a ses coté qu'elle a découvert le monde du cabaret, sa maman l'a toujours prévenue de "tourner comme elle". C'est donc vers la musique qu'Alizia se tourna, plutôt que la danse. Sa mère a bien tenté de la convaincre, mais elle n'était pas seule à l'élever. Le père d'Alizia, un homme d'un age certain que la vie a trimbalé un peu dans tout les sens, militaire de carrière, a la retraite heureusement, lui a appris a s'en tirer sans se laisser faire, ni mener par le bout du nez. Mais en parallèle de cette jugeote, il lui a aussi appris a craindre le Jugement Divin, et a s'y fier quand, désemparée, elle ne saurait plus où aller. Cela finirait par arriver, lui disait il souvent. C'est sûrement pour cela qu'elle a appris, avec lui, a se battre bien mieux que les autres. Le chant et le combat, c'était déjà bien assez pour remplir une vie d'enfant, d'adolescente et de jeune fille. Jusqu'à ce que "ça" arrive.

A la mort de ses parents, Alizia ne put assumer l'assommante pluie de dette et de responsabilité qui lui tomba alors dessus. Elle dut partir de la petite maison qu'elle connaissait depuis toujours pour se trouver plongée au cœur de la cité sombre, puante et poisseuse qu'elle essayait d'ignorer jusqu'alors. Le lucre et l'envie suintaient des murs alors qu'elle se présentait au premier cabaret pas trop miteux venu pour proposer ses talents de chanteuse. Tant pis pour la possible réputation de fille facile que cela pourrait lui attirer, après tout, si cela la dépassait, elle mettrai les choses au points a l'aide de son autre talent. Le cadre ne l'enchantait pas, mais ca payait le loyer. Mais rapidement, elle perçut que ses valeurs, tout ce en quoi elle croyait, était bafouée sous son nez tout les jours ou presque, et si au début, elle serrait les dents pour rester "zen", son tempérament fougueux fini par prendre le pas. En une nuit, elle planta un dealer KO devant la porte de chaque proxenette. Si cette anecdote lui valu une petite réputation dans le quartier, c'en est une autre qui lui donna son surnom d'Amante Religieuse. Alizia l'aime bien, ce nom, il lui rappelle qu'elle reste une femme de Foi malgré ses tords. L'anecdote ? Il n'y a pas grand-chose a raconter : comme l'insecte, elle se trouva un jour un male, fit ce qu'elle avait a faire, et lui dévora la tête. Elle-même se demande comment tout cela s'est ébruitée jusqu'à lui faire un petit nom. Evidement, la mort d'un homme a quelque conséquences dans la société actuelle, mais une fois de plus, c'est la Foi qui sauva les jolies miches d'Alizia. En fuite après son forfait, sa route croisa celle d'un homme qui, comme elle, avait oublié l'Etat et le soi-disant Nouvelle Religion pour revenir aux Sources de la foi : le bon, l'humble, le très pieux Artus Baxxter. Elle lui confessa son crime, et avec un sourire plein de dents, il la pardonna "comme on aime a le faire par ici". Comme avec un claquement de doigt, les traces, les preuves, le crime disparut ! Pleine de reconnaissance pour ce pasteur pastiche, elle signa un deal avec ce diable de bonne foi : il avait besoin de quelqu'un capable de tuer, et c'était Dieu qui l'avait amenée ici. Et au moins, lui n'essayait pas de la draguer.

Bienvenue sur le forum,

Alors j'ai parcouru ta fiche. Ce qui me fait tiquer, c'est le fait que nous ne sommes pas sur Terre. L'Égypte n'existe donc pas :) A priori, nous avons passé pas mal d'heures sur un contexte, ce n'est pas juste pour remplir les pages du forum. Si tu veux te renseigner un peu, je ne peux que te conseiller de lire en diagonale - et au minimum - les topics du fil rouge. Qui t'apprendrons les noms des continents, le nom de la planète.

Sur Tyr, la seule Foi réelle est celle de l'Etat, ils sont l'Alpha et l'Oméga. Les seuls dieux présents. Le culte de la Nouvelle Église est une foi transversale, non approuvée par l'Etat et considérée comme hautement marginale (malgré son nombre croissant d'adapte.) Mais elle n'existe pas depuis plus de 5 ou 6 ans. Donc je pense que le père de ton personnage l'aura orienté dans une foi aveugle pour l'Etat (et donc une foi aveugle en son système de justice etc). Cela pourrait amener des choses intéressantes sur tu es le garde du corps d'Artus, qui est après tout, un représentant de cette foi marginale.

Pour la partie entre parenthèse sur la magie sans le savoir. Non, pas besoin :) Si elle est entrainée, elle n'a pas besoin d'être Rough.

D'ailleurs, es-tu toujours la garde du corps d'Artus, tu n'en fais mention nulle part dans ta fiche ?

Pour l'histoire, je dois avouer que j'aimerais un peu la voir étoffée, mais par curiosité. Qu'est ce qui l'a poussée à devenir une mante religieuse ? Est-elle née à Sécaria ? Dans quel continent ? Pourquoi chanteuse de charme alors que la foi demanderait une certaine austérité (à contre pied justement du charme ?). C'est dommage, elle mériterait quelques détails supplémentaires.


Voila, comme tu l'avais dis, c'est ton premier forum Rp, donc c'est normal d'avoir loupé certaines choses. Tu t'en sors quand même très bien. Si tu as des questions, n'hésite pas.
Ton avatar n'apparait pas, parce que le cadrage que je t'ai fais ne te convenait pas, où c'est un beug du forum ?

Euh, moi je le voit mon avatar, donc ca doit venir de chez toi, je suppose...
Je prend bien en note tout cela et j'me remet a ma fiche sous peu

J'ai édité ma fiche. Je vous demande de souligner qu'elle ne suit pas la religion d'Etat, justement. Elle a sa petite vision de la chose, et c'est pour cela qu'elle est tombée sous le charme d'Ozy (tout cela reste purement professionel/religieux, bien entendu)

D'accord, c'est tout bon, avant que je te valide, il faut que tu choisisses une idéologie
https://night.forumactif.fr/les-ideologies-f53/ pour que je puisse t'ajouter dans le bon groupe.
(C'est la septième mention de la partie identité ).

Hum alors alors ?

Désolé, j'ai plus internet depuis quelque temps, du coup, ça m'est un peu sorti de la tête. Mettez moi en Nouvelle Eglise en attendant.

Le joueur n'est pas revenu. J'archive.